Mercredi 5 novembre 3 05 /11 /Nov 11:49

La nuit venait de tomber sur Paris. Je rentre le pas assuré sans savoir ce qui m’attendait. La soirée se passe normalement. Soudain, le téléphone sonne. C’était un message.

« Je veux que ma chienne soit désirable et propre sous peine d’être corrigée comme il se doit. Ton Maître ».

Je m’afférais à la tâche qui m’était donné. Je me nettoyais, me maquillais et commençait à choisir mes vêtements.  Mon choix s’arrêtait sur une jupe noire et un haut de soie assez décolleté pour permettre l’accès de mes seins à mon Maître. Je glissais mes jambes dans des bas noirs et mis des talons hauts. Je patientais lorsque la sonnette retentissa. J’ouvris et vous accueilli comme il se doit.

«- Bonsoir, mon Maître ».

Vous rentrez dans la pièce alors que je fermais la porte.

«- Mets-toi nue Chienne que je vérifie si mes instructions ont été respectées. »

J’exécuta l’ordre et laissa glisser ma jupe sur le sol révélant alors mes dessous en dentelle noire et les bas qui soulignaient mes jambes. Rapidement, je fus en sous-vêtements que je retira délicatement, les laissant glisser sur ma peau me provoquant quelques frissons.

Mon corps entièrement nu vous était alors offert. Votre main passa délicatement sur mon pubis imberbe puis descendit entre mes jambes pour glisser un doigt dans ma chatte déjà humide.

«- Tu mouilles déjà, Chienne. Penches-toi en avant que je vois ce qu’il en ait de ton cul ».

Je me retourna pour que mon cul vous fasse face. Votre main passa sur les marques zébrées encore visibles d’une punition subie il y a quelques jours de ma désobéissance. Un doigt glissa le long de ma raie et alla se loger dans ma rondelle accueillante. L’excitation commençait à monter en moi ;

«- Je vois que tu as respecté mes ordres. C’est  bien, Chienne. Maintenant, rhabilles-toi sans remettre tes sous-vêtements ce soir nous sortons. Tu as intérêt à te comporter en bonne chienne sinon je serais dans l’obligation de te punir sévèrement. Tu seras toujours quelques centimètres derrière moi ou à côté de moi. Tu ne parleras que si je te l’ordonne. Tu ne feras aucun commentaire et écoutera uniquement le son de ma voix. Est-ce bien compris, Chienne ? 

- Oui, mon Maître. Je serais une bonne chienne obéissante qui vous servira comme il se doit.

- Bien, je l’espère. Maintenant, partons.»

Je vous suivais comme il était convenue ne sachant pas où j’allais me rendre. Un mélange de crainte et d’excitation coexistaient en moi. Après quelques minutes de trajet, nous arrivâmes. C’était un club peu indiquée dans une petite rue discrète. Nous entrâmes et déposâmes nos affaires au vestiaires. Passés d’épais rideaux noirs, nous arrivâmes dans une immense salle à lumière tamisée. D’immenses canapés rouges occupés l’espace. De nombreuses personnes étaient présentes : des hommes et des femmes allongées aux pieds de leurs Maître sans rien dire.

Je regardais la scène intriguée par ce qui se passait autour de moi. Nous nous sommes dirigés vers un canapé libre. Vous vous êtes assis alors que j’attendais votre ordre.

« - Mets-toi à genoux entre mes jambes et ne bouge pas, Chienne. »

J’exécuta l’ordre sans protester. Les femmes autour de moi se déplaçaient à quatre pattes proche de leurs Maîtres, d’autres répondaient aux désirs de ceux-ci : avalant de tout leur long la queue de leur Maître, donnant du plaisir à d’autres femmes devant les yeux excités de leurs possesseurs… L’excitation commençait à monter en moi petit à petit malgré moi. Vous sentiez ce sentiment monter en moi.

« - Fais ton travail de chienne et vient exciter ton Maître comme il se doit. »

Contente de pouvoir enfin servir mon Maître, je me retourna pour vous faire face.

« - Baisse tes yeux, Esclave. Cherches-tu à être punie pour cet affront ? Je suis sûr que non. »

Je repris la tâche qui m’était demandée. Je pencha la tête en direction de votre entre-jambe qui était déjà dressé par le désir grimpant en vous. Mon visage et mes cheveux commença à frotter ce membre qui me faisait tant envie. Ce contact ne faisait qu’accroître le désir qui m’envahissait de plus en plus. Je n’avais qu’une idée en tête : prendre ce sexe tendu en bouche et sentir ce membre grossir par des coups de langue et aspiration pour enfin être envahi par ce foutre en signe de récompense. Mais, quelque chose me tira de mes pensées. Un homme vient s’assoir à vos côtés et commença à vous parler.

« - C’est une bien belle chienne que vous avez là. Est-elle obéissante et docile comme il se doit ? », demanda t-il comme si de rien n’était.

« - Elle me donne parfois du fil à retordre et je la corrige pour mon plus grand plaisir et le sien. Voulez-vous avoir un aperçu de ses capacités sous ma direction bien sûr ?

- Se serait avec plaisir. »

J’assistais à la conversation tout en poursuivant la tâche qui m’était demandée. Vous vous êtes levé.

« - Suis-nous comme une chienne se doit de le faire ».

Je suivais donc deux hommes désirant mes faveurs vers une deuxième salle plus calme. Elle était composée de divers matelas rendus intimes par de fins rideaux transparents permettant à qui le souhaitait de regarder la scène. Nous sommes passés à côté d’une femme se faisant enculer par un homme tout en embrassant une jeune femme. J’étais envieuse de cette femme mais je ne savais pas ce qui allait m’arriver. Nous sommes arrivés à l’endroit désiré.

« - Mets-toi nue. Tu feras tout ce que je te demande comme il se doit et répondre à nos envies mutuelles. »

Je fis glisser mes vêtements le long de mon corps pour les laisser choir sur le sol. L’invité me scruta et m’examina de haut en bas.

« - c’est une belle chienne que vous avez là. J’espère qu’elle sait répondre à toutes vos demandes.

- Je vais vous le prouver tout de suite. Chienne, va faire une gâterie à Monsieur et appliques-toi. »

L’homme s’asseya sur le lit. Une chaleur assez importante nous entouré. Je me dirigea toujours à quatre pattes vers cet homme que je devais satisfaire. Son pantalon laissait déjà transparaître son désir grandissant. Son sexe dressé ne demandait qu’à sortir, serré dans ce vêtement alors superflu. Je descendis la braguette de l’inconnu devant vos yeux. Mes doigts agiles frottèrent délicatement de toute sa longueur ce membre luisant dressé par le désir. Je l’enfourna de toute sa longueur dans ma bouche et commença à caresser de ma langue agile son gland noueux. Devant cette scène, je senties vos doigts se glisser dans ma chatte humide du désir qui était présent dans mon être depuis notre arrivée. Cette intrusion en moi me fit échapper un gémissement aspirant alors vos doigts dans cette chatte réclamant une queue pour l’assouvir.

« - Tu mouilles déjà comme une fontaine. A croire que tu aimes être une putain. »

Ses mots me choquèrent malgré moi et résonnèrent dans mon esprit. Je ne pensais alors qu’à partir et laisser cet homme le pantalon sur les genoux. Mais, sa voix me rappella que je tenais son sexe bandant dans ma bouche en privilégiant son désir.

« - Oh, votre chienne s’applique vraiment. Quelle chance vous avez. Son cul me fait envie. Pourrais-je l’enculer devant vos yeux ?

- Bien sûr. Cette pompe à sperme est faite pour nous servir. Allez-y, servez-vous en comme si c’était la vôtre. Mets-toi à quatre pattes sur le lit et tend ton cul qu’il puisse ainsi qu’enculer comme il se doit. »

J’abandonna son sexe tendu et grimpa sur le lit pour lui offrir ma croupe. Vous vous êtes placé devant moi pour regarder mon regard. Je sentis le gland lubrifié de ma salive se présenter sur ma rondelle. Je le sentis forcé l’entrée puis je l’engloutis de toute sa longueur. Une chaleur montée en moi alors qu’il commença à me labourer sans ménagement.

« - Oh la Garce. Elle me serre, je sens ses entrailles se refermaient autour de ma queue. Que c’est bon, sale chienne. »

Mon regard soutenait le vôtre pour vous prouver qu’un autre homme était capable de me donner du plaisir comme un affront à votre autorité. Je voyais que cette scène vous excitez malgré que vous ne soyez pas acteur. Comme si vous lisiez dans mes pensées, vous vous êtes levé en défaisant votre ceinture. Je comprenais ce qui allait se passer.

« - Honore ton Maître, sale Chienne ».

Votre main emprisonna ma chevelure avec vigueur pour diriger ma tête vers cette queue que je connaissais et désirais. Luisante, puissante… Je l’enfourna dans ma bouche alors que votre main faisait pression pour que je l’avale de toute sa longueur. Je la sentie se cogner dans ma gorge me provoquant alors un haut le cœur. Votre main imprimait la cadence que j’essayais de tenir alors que l’inconnu continuait à me labourer par de puissants coups de reins. Tout cela formé une cadence parfaite. Nos ébats avaient attirés quelques spectateurs excités par la scène.

« - Je sens que je vais jouir dans le cul de cette salope. Ohhhh !!!! »

Je sentis les jets puissants se répandre dans mes entrailles contractant alors sa queue. Je n’avais plus qu’un seul but : vous faire jouir. L’inconnu se retira après quelques secondes me laissant alors vide qui se rhabilla et resta spectateur.

Votre queue bandante grossissait de plus en plus. Les coups dans ma gorge commençaient à e faire monter les larmes aux yeux. Je dirigea mon regard vers le vôtre et vis le vôtre à la choix mêlé par la fierté et le désir grandissant. Je sentais que la fin était proche. Je sentis votre queue se contracter. De profonds jets puissants se firent sentir dans ma bouche. Votre foutre chaud et épais se déversa dans la gorge qui venait de vous servir. Vous vous êtes retiré après quelques secondes restés immobile en moi. Je m’écroula sur le lit, exténuée des évènements passés.

Je vous vis faire le tour du lit et vous diriger au-dessus de moi et venir déposer un baiser sur les lèvres qui venaient de vous enlever votre plaisir.

« - Tu as bien travaillé, Chienne. Je suis fier de toi, tu ne m’as pas déçu et déshonoré.

- Merci mon Maître. »

A peine ais-je fini ses mots que votre queue s’introduisit en moi avec vigueur me laissant échapper un gémissement de plaisir. Ma chatte vous désirez tant qu’elle enserrait votre queue réclamant de plus en plus vos faveurs. Votre queue butait contre les parois humides et chaudes de ma chatte. Mes gémissements se faisaient de plus en plus rapprochés contente de ce cadeau que vous m’offrez.

« - Merci, Maître de cet honneur de vous servir », le souffle coupé à chaque coup de queue en moi. Le désir se faisait de plus en plus envahissant et s’évacua en un râle puissant. Vous ne tardez pas à me rejoindre laissant votre queue se contractant et évacuant de profonds jets chauds contre mes parois sensibles provoquant alors un second orgasme.

Vous vous êtes retiré après quelques instants et présenta votre queue devant moi pour la nettoyer. Je pris soin de lécher votre queue luisante de mes sécrétions et des restes de votre épais foutre.

« - Rhabilles-toi, nous partons. »

Je ramassa mes affaires sur le sol et m’habilla devant les spectateurs qui quittaient l’espace devenu inintéressant pour se diriger vers d’autres lieux où retentissait les râles des hommes et femmes en chaleur.

Nous avons traversés les deux salles pour récupérer nos affaires. Nous avons quittés les lieux en silence me laissant alors imaginer dans mes pensées notre prochaine soirée dans ce club.

 

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Par maitre romain
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