Lundi 31 août
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21:14
L'humiliation. Elle est perçue différemment selon les personnes et les actes. Je parle de cela car je l'ai vécu aujourd'hui.
Ayant eu encore une longue absence d'écriture, mon Maître m'a puni. 5 coups par jour d'absence soit 5 x 7 = 35 x 2 = 70. 70 car je n'ai pas su évaluer ma punition. Là n'est pas l'humilation. Les
coups, j'apprends à les surmonter, les ressentir.
La vrai séance a commencé plus tard. Je devais attendre mon Maître chez lui dans la position qu'il aimerait me voir quand il arrivera. Je suis arrivée chez lui et me déshabillée. Je me suis
installée sur le sol adossé au canapé.
Je lisais une bd quand il arriva.
"- C'est comme ça que je souhaite te voir ?? Il ne te manque pas quelque chose ??
- Mon collier, Maître".
Délicatement, il souleva mes cheveux et passa le collier à mon cou. Je le sentais se resserer autour de mon cou. Puis, les poignets et les chevilles se retrouvèrent eux - aussi habillés. Sa main
glissa sur ma peau puis se dirigea vers mon entrejambe pour en caresser mon clitoris.
" - Tu mouilles déjà. Qu'est ce qui te plaît autant.
- Vous, Maître.
- Ce n'est pas plutôt ta position ? Allez suis - moi dehors à quatre pattes il fait chaud. "
Je suivis mon Maître dehors. Je sentais la transition du carrelage froid à l'herbe chaude et chatouilleuse. Je le suivis jusqu'au fond du jardin et m'immobilisa.
Mon Maître m'écarta les jambes pour accrocher une barre d'écartement. Il passa mes mains sous la barre me retrouvant alors le visage dans l'herbe. Une fourmi se baladait sur ma cuisse. Mon Maître
passait ses mains sur mon corps. Le vent se faisait caresse.
Il me retourna. Le ciel est d'un bleu presque éblouissant. J'étais totalement offerte et accessible. Je l'entendis s'éloigner. Il revint quelques minutes plus tard. Je ne pouvais voir ce qu'il
avait apporté avec lui. Je sentis quelque chose presser sur mon anus. C'était une poire remplie d'eau. Je sentais l'eau rentrée en moi. A chaque poire, je sentais mon ventre grossir. Savant ce qui
m'attendais, je ne pus retenir mes larmes d'humiliation, de douleur, de gêne. 2L d'eau dans le ventre me tiraillait. Le plug me servait de bouchon. J'étais à un stade où vous ne souhaitez
qu'une chose partir en courant, être six pieds sous terre, vous faire invisible.
Je voulais cacher mes larmes à mon Maître mais peine perdue. Un doigt suivit le sillon d'une
larme.
" - Allez, viens te vider maintenant."
Je le suivis à l'intérieur devant lui et me dirigea vers les toilettes.
" - Je vais retirer le plug. Je veux que tu te retiennes. Après tu pourras te lâcher."
Sa main passa entre mes jambes et retira lentement le plug. Je ne pus retenir l'eau qui était dans mes entrailles et mes larmes non plus. L'avoir à mes côtés dans ces moments si intimes
m'insupportait. Je baissais la tête de ce spectacle. Il déboutonna son jean et dirigea ma tête vers sa queue bandante. Je commança à le sucer lentement alors que mes larmes coulaient lentement sur
mon visage.
Après 2 minutes qui me parurent une éternité, mon Maître me laissa finir tranquillement. Quand j'eus fini, je me dirigea vers Lui en attendant le prochain ordre. Au lieu de ça, sa main glissa dans
mes cheveux puis suivit le sillon de mes larmes séchées.
" - Tu ne dois avoir honte de rien en ma compagnie. Que vas-tu ressentir quand je te ferais subir cela en public ? Tu peux aller te rhabiller, ça suffit pour aujourd'hui."
Je me dirigea dans le salon et m'habilla en silence. Les yeux encore rougis, je lui dis en revoir. Je sortis de la maison et me dirigea vers ma voiture alors qu'il rangeait le matériel à
l'intérieur. Je regardais le bassin à poissons pensive des évènements passés.
" - Tu peux être fière de toi."
Ces paroles me firent pleurer. Non, je ne suis pas fière. Je me sens sale, impuissante, humiliée, blessée. Je le quitta ne pouvant en entendre davantage.
A peine arrivée chez moi, je me dirigea vers la salle de bain. Je me déshabilla et rentra dans la douche. L'eau chaude m'apaisa. L'eau retira, effaça les maux, les pleurs pour glisser sur moi et
disparaître.
L'humiliation. Un sentiment qui vous ronge, vous blesse. Comment peut-on y retirer un plaisir ? Une question de plus qui montre le mystère et les envies de mon Maître que je découvre à chaque
séance ...
a bientot
Tu devrais au contraire ressentir une fierté, celle d’être une bonne soumise, qui vit pour le plaisir de son Maitre.
Il y a des règles qui doivent être respectées, celle de faire un écrit par jour en est une, tu sais que je suis parfois dur avec toi et que j’ai du plaisir à le faire. Si tu ne veux pas être punie tu dois les suivre.
Pourquoi ne pas avoir expliqué comment c’est passé la première partie de la punition ? J’aimerai que tu explique à tous le déroulement de tes séances ou tu mouille toujours abondamment.
Ton maitre