Le blog de maitre romain

Aujourd’hui, je vous écris aux pieds de mon Maître comme la bonne chienne que je suis.

Cette semaine, faute de temps, je n’ai pu passer beaucoup de temps avec mon Maître à mon plus grand regret.

Or, quand je suis arrivée tout à l’heure, il m’attendait de pied ferme.

«  - Quand tu auras fini les choses que tu as à faire, je te veux nue dans mon bureau.

- Bien, Maître. »

 

Après avoir fait les deux trois choses que j’avais à faire, je me débarrassais de ton vêtement : mon jean glissa sur le sol suivi de mon pull, de mon débardeur et de mes sous-vêtements rouges. Seuls mes talons hauts résistaient. Je me suis dirigée vers son bureau.

« - Prends dans l’armoire ton collier et tes bracelets. »

J’ouvris la porte et m’empara de mes attributs. Alors que je retirai mes chaussures et allais mettre mon premier bracelet, il me dit :

« - Laisse, je vais m’en occuper. »

Je le suivis alors dans une autre pièce et m’agenouilla en l’attendant. Un claquement de doigt me fit signe de monter sur le canapé. Mon Maître plaça alors mon collier autour de mon cou et très rapidement suivi par mes bracelets. Il partit alors et revint quelques instants plus tard avec un manche qui allait servir d’écarteur. Il le plaça entre mes jambes qui se retrouvèrent alors très écartées. Mes muscles le ressentirent de suite. Mes poignets allèrent alors au centre pour ainsi écarter au maximum mes jambes puis mon Maître remonta un maximum mes bras pour lui être alors totalement offerte. Mes muscles souffraient déjà d’une telle posture. Un bâillon trouva alors refuge dans ma bouche. Le goût du caoutchouc m’envahit instantanément la bouche.

Quelque chose de froid rencontra mon anus. Je reconnus aussitôt le lubrifiant puis quelque chose força. Un god se trouva alors logé entre mes fesses. Je le sentais rentrer en moi de toute sa longueur. Mon Maître joua sur la vitesse de pénétration et les rotations. Je me retrouva vite excitée et je ne pensais plus qu’à une chose : remplacer ce membre de plastique par un vrai en chair, celui de mon Maître.

Après au moins cinq minutes de va-et-vient, le souffle court, mon Maître s’arrêta et passa ses mains sur ma poitrine qui lui était offerte. Mes jambes me faisaient de plus en plus souffrir.

«  - Peux-tu retirer toi-même le bâillon ? »

Je fis oui d’un signe de la tête.

«  - Bien, je ne veux pas t’entendre ou alors seulement si tu as besoin de quelque chose ou si tu as mal. »

Je retira aussitôt l’objet qui emprisonnait mes paroles :

« - Mes jambes me font mal Maître. »

Sur ses mots, il me détacha puis alla loger un plug dans mon cul

« - Prends ton ordinateur et suis-moi dans mon bureau. »

Ainsi garni, je le suivis dans son bureau. Il plaça alors mon ordinateur sur le sol.

«  - Que peux-tu faire ainsi ?

- M’occuper de mon Maître.

- Bien mais encore ...

- Ecrire ?

- Oui et si tu ne tapes pas sur le clavier, je veux tu me caresses.

- Bien, Maître. »

 

Et me voilà sur le sol à relater ces instants. Mais  après avoir bien tapée sur mon ordinateur, je vais vous laisser et aller m’occuper de mon Maître ...

 

Ven 11 sep 2009 Aucun commentaire