Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 07:32
Soumise Sophie devait être corrigée pour un manque de respect envers moi.
nous avons donc passé une après midi entière pour une séance de punition avec en grande partie une dilatation anal.
j'ai demandé à soumise sophie de vous faire un récit de la séance, en voici la première partie:

J’entre dans la maison sans bruit. Vous m’accueillis :

« - Te voilà enfin. Mets-toi en tenue. »

J’enlève mes vêtements un à un sans mot et les laissa glisser sur le sol. Je prends mes liens et les mis tout d’abord aux chevilles, puis aux poignets et enfin pour parfaire ma tenue, mon collier qui fait de moi ta Chienne. Je suis prête.

« - A genoux. Quels sont les termes de ta soumission ?

- Je dois vous vouvoyez lorsque nous sommes seules, finir mes phrases par Maître, répondre entièrement à vos ordres et prendre ma position de soumission lorsque je ne reçois pas d’ordres particuliers.

- Bien. Qu’as-tu fais c’est dernier temps ?

- Je vous ai tutoyez, omis de vous appeler Maître.

- Que mérites-tu par conséquence ?

- Punie, Maître.

- Alors, mets-toi face au mur, les mains derrière la tête, les jambes écartées, Chienne. »

J’exécute l’ordre avec l’angoisse grandissante de ce qui va m’arriver. Je ne perçois que vos pas et vos bruits sans savoir ce qu’il va se passer. Soudain, le froid, la dureté, le cuir parcoure mes fesses alors offertes à vos coups. Je patiente redoutant le moment du premier coup. Je profite alors des caresses du cuir sur ma peau. Vous passez le cuir délicatement sur mes fesses remontant sur mes reins cambrés jusqu’à ma nuque. Je savoure ce moment de répit les yeux fermés. Puis, retour à la réalité. Le premier coup.

« -Un », dis-je surprise.

Ce ne fut que le premier d’une longue série. Ma voix s’éraillait de plus en plus face aux coups et à la dureté de votre main. Au bout de 30, un répit enfin. Vos doigts passèrent sur mes fesses rougies par vos coups.

« - Cela, commence-t-il à chauffer ?

- Oui, Maître.

- Bien. »

La pause ne fut que de courtes durées. Je sentis la cravache caresser les marques chauffantes laissées par le cuir. Même processus. Celle-ci remonta le long de mes reins, s’aventura le long de ma raie pour s’évanouir à l’auréole de mes seins. Ce répit m’apaise.

Premier coup cinglant. Plus douloureux encore que les 30 précédents. Je m’efforce de compter sans laisser paraître ma souffrance. Chaque coup me déchire davantage. 50 arrive comme une délivrance. Je m’efforce de ne pas tomber à genoux et me retient au mur.

« - Bien, Chienne. Première punition effectuée. Suis-moi dans mon bureau », dîtes-vous sans émotion particulière en attachant les pinces sur mes attributs. Les premières mâchoires se refermèrent sur mes tétons puis sur mes lèvres. « Sur le canapé, en position de soumission ».

J’exécute l’ordre. Me voilà ainsi accroupie, le visage sur le cuir, mes mains écartant mes fesses vous offrant alors la libre vision de mon cul. Vos pas, des bruits attirent mon attention. Une sensation de froid se fait alors sentir sur mon con.

Que va-t-il me faire ? Je sais que vous êtes capable du pire et que mes larmes n’y changeront rien. Quelque chose s’introduit alors en moi. Je reconnais le bruit des baguettes chinoises. Une, puis deux, trois… Je ne sais combien me pénètre alors me déchirant alors de l’intérieur. Un gémissement de douleur puis les larmes me montèrent aux yeux. Non je ne dois pas pleurer, je dois être forte. Vous avez entendu mes sanglots naissant que je tentais en vain de cacher mais ce n’était que peine perdu. Votre main puissante emprisonna mes cheveux pour relever ma tête et laisser voir mon visage ruisselant de larmes que je voulais tant cacher.

« - Souffres-tu, Chienne ?

- Oui, Maître.

- Bien. »

Vous me quittez alors et partez vous installer à votre bureau. Les minutes passent. Les objets m’occupant se font alors de plus en plus gênants. Des fourmis dans les pieds m’empêchent alors de bouger. Je ne sens plus mes doigts de pieds. Je ne peux le dire à mon Maître. J’hésite longuement mais la gêne se fait alors plus pressante.

« - Maître ?

- Oui, Soumise.

- Je ne sens plus mes pieds, Maître.

- Que veux-tu que j’y fasse ?

- Je ne sais pas, Maître. »

Vous vous levez de votre chaise et venez vous assoir à mes côtés calmement. Je senties une première baguette se retirait de sa cage puis une à une, vous retirez ces objets occupant tout cet espace restreint. La douleur s’évacue peu à peu.

« Mets-toi sur le dos maintenant. »

J’exécute l’ordre et prends une position plus confortable mais une douleur assaillante me transperce. Les pinces emprisonnants mes tétons me faisaient souffrir au plus au point. Les larmes me montent aux yeux. Je ne peux les arrêter laissant alors évacuer mes sanglots.

« - Que t’arrives-t-il ?» me demandez-vous alors que je ne cherche qu’à cacher ses larmes honteuses.

« - Rien, Maître », dis-je malgré la douleur fulgurante. Mais je ne peux rien vous cacher, je suis transparente à vos yeux.

« - Les pinces te font mal, c’est ça ?

- Oui, Maître.

- Demandes-moi de les retirer.

- Non, Maître ». Je ne voulais pas vous décevoir malgré mes pleurs. Je voulais endurer cette douleur, vous prouver mon courage, ma donation…

« - Que t’ais-je dis. Faut-il que je te corrige encore, Chienne ?

- Non, Maître. Pouvez-vous me retirer les pinces s’il vous plaît, Maître ? ».

Vos mains habiles retirent la première pince accentuant alors ma douleur. J’étouffe un cri de douleur dans mon bras. Puis la deuxième mâchoire quitte mon dernier téton endolori. Vos mains caressent apaisant ma douleur et ma souffrance ainsi que mes larmes qui s’arrêtent de couler le long de mes joues.

« - Je veux voir tes larmes coulaient. Je veux voir ta souffrance. Je ne veux pas que tu te caches. Tu es ma Chienne, je dois tout voir de toi.

- Oui, mon Maître », séchant alors ma dernière larme. Vos mains caressent toujours mes seins dont les tétons durcissaient non pas de douleur, mais du plaisir qui commence à monter en moi.

« - Repose-toi un peu maintenant. 

- Oui, Maître. Merci, Maître. »

Je me mets de profil et allonge mes jambes. Je ferme délicatement mes yeux rougis par les larmes. Mes pensées s’évadant alors vers d’autres ébats
Par maitre romain
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Commentaires

Je crois que la salope devrait toujours se présenter sur hauts talons et Dim up, au moins !
commentaire n° :1 posté par : gentleman4682 le: 25/02/2009 à 11h52
Je ne m'identifie pas du tout, c'est toute cette douleur qui me derrange, je cherche les compensations. Peut-être plus loin?
commentaire n° :2 posté par : oxanne le: 02/03/2009 à 23h30

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