Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 17:54

Je me mets de profil et allonge mes jambes. Je ferme délicatement mes yeux rougis par les larmes. Mes pensées s’évadant alors vers d’autres ébats.

Je ne sais combien de temps s’écoula avant que votre voix ne me tire de ma rêverie.

« - Chienne, sous la table et vient caresser ton Maître. »

J’exécute l’ordre attentivement de peur des représailles. Je rampe à quatre pattes jusqu’à votre bureau et me place entre vos jambes. De mes fins doigts, je commence à caresser votre membre que je sentais grossir sous mes doigts. Je m’attarde sur votre gland que je malaxe entre mes deux doigts. Chaque caresse réchauffe mon corps refroidit par le carrelage sur ma peau.

« - En position, Chienne ».

L’ordre fusa après quelques minutes passées entre vos jambes que je ne voulais quitter. Je me place à vos pieds et me mis en position de soumission comme vous me l’avez appris : le visage sur le sol froid, mes mains dévoilant plus mon intimité pour vous satisfaire. Vous avez alors retiré vos chaussures et plaça vos pieds sous moi quelqu’un le ferait avec son chien pour se réchauffer les pieds. Le calme soudain me repose et je m’assoupie quelque peu après tous ses évènements.

« - Va dans la pièce en haut et attends moi.

- Oui, Maître », me tirant alors de mon sommeil.

Je quitta alors vos pieds et rampa hors du bureau et traversa le séjour avant de monter à l’étage. Je monta les escaliers et m’installa dans la pièce comme vous me l’avez demandé. Après quelques minutes d’attente, je tomba sur un livre Frappe-moi ! et commença à en lire quelques pages tout en m’emmitouflant dans une couverture. J’étais tellement pris par le récit de cette jeune femme soumise que je ne vous attendis pas revenir. Vous êtes alors entré dans la pièce me trouvant plonger dans ce récit. Vous vous êtes placé derrière moi. J’étais alors de retour entre vos jambes. Vos mains glissèrent sous la couverture pour venir me pincer les tétons.

« - Que dois-tu faire quand je ne suis pas là et que je ne te donne pas d’ordre en particulier ?

- Je dois tenir la position, Maître.

- Et que fais-tu là, Chienne ?

- Je lis un livre sur le récit d’une soumise.

- Te plais-t-il ?

- Oui, Maître. »

Vos mains froides ne quittaient pas mes seins que vous malaxiez fermement faisant alors remonter le désir en moi. Je n’attendais plus que votre queue en moi, j’étais en manque d’elle. Quand alliez-vous me prendre en fin. Vous quittez alors la pièce me laissant alors de nouveau seule. Mais ce ne fut que de courtes durées.

« - Sort de cette couverture et offre-moi ton cul, Chienne » alors que vous vous mettiez nu. J’exécute l’ordre sagement ne laissant pas transparaître mon envie envahissante d’être prise par vous.

« - Viens me sucer, Chienne. »

Je suis alors déçue, moi qui désirais tant être enculée sur le sol tout de suite maintenant. J’exécute au mieux la tâche que vous m’avez demandé en ne laissant rien dévoiler. Je sens alors vos doigts inquisiteurs dans mon cul, me fouillant de plus en plus. La chaleur monte alors en moi heureuse de me sentir remplie par vous.

« - Fais ton travail de chienne et lèches-moi le cul » tout en continuant de m’exciter.

Je plaça ma tête entre vos fesses et entrepris délicatement de lécher cette partie intime de vous alors que vous enfonciez alors un troisième doigt dans mon cul me faisant alors gémir de plaisir. Vos doigts occupaient plus mon esprit que la tâche que vous m’aviez alors confié et me stoppa un moment face au plaisir qu’il me procurait. Une claque violente sur mon cul déjà meurtrie me rappela à l’ordre.

« - T’ais-je dis de t’arrêter, Chienne ?

- Non, Maître. Pardonnez-moi.

- Reprends ton boulot alors. »

Je repris la tâche ordonnée alors que vous étiez encore en train de travailler mon cul alors entièrement offert à votre portée. Un quatrième doigt inquisiteur rentra alors en moi me faisant alors gémir non pas de plaisir mais de douleur. Les larmes commencèrent à couler le long de mes joues. Le plaisir grandissant fut remplacé par la douleur et les larmes.

« - Montre-moi les marques de ta souffrance. Tu sais très bien que je veux voir tes larmes couler. Souffres-tu, Chienne ?

- Oui, Maître.

- Tu sais que je vais aller de plus en plus loin. Mais, tu mouilles comme une chienne malgré ta douleur. Tu en ais consciente ?

- Oui, Maître. Malgré la souffrance, je veux être votre chienne, esclave. Je veux être l’objet de vos envies même si cela doit passer par la douleur.

- C’est bien. Tu deviens une bonne chienne. Tu m’étonnes de jour en jour. Maintenant, rhabilles-toi en laissant tes sous-vêtements.

- Oui, Maître » alors que vos doigts quittaient mon être me laissant alors vide de vous. Le soulagement et la frustration m’envahit. Je ne vous avez pas satisfait et manquée à mon devoir de chienne. De plus, je ne vous sentez plus en moi alors que c’était la chose que je désirais le plus.

« - Demain, je te veux désirable et prête à répondre à toutes mes envies, Chienne.

- Oui, Maître. Je suis là pour servir les envies de mon Maître. »

Je me rhabilla en silence et quitta la pièce en vous souhaitant une bonne soirée en ne pensant plus qu’à demain.

Par maitre romain
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Commentaires

vivement demain alors ! smile
commentaire n° :1 posté par : Maître Décadent le: 12/11/2008 à 23h25
je lirai la suite demain, mais pour l'instant cette soumission est trop violente pour moi. Meler la douleur au plaisir oui mais ce récit donne l'impression que le douleur l'emporte Haut la main, domage (pour moi).
commentaire n° :2 posté par : oxanne le: 02/03/2009 à 23h47

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