Le blog de maitre romain
Un texte que mon Maître a
particulièrement aimé ...
Tu te souviens du mot ?
Oui" (l'angoisse monte, c'est la première fois en 4 mois que tu me poses la question) Tu déposes le fouet et le martinet sur le lit "Déshabille-toi !" Le ton est sans équivoque Je tente une pirouette, me glisse sous la couette, emportant avec moi les instruments de la punition "Tant-pis" La couette vole, la ceinture s'abat, m'arrachant un hurlement de douleur Docile, à quatre pattes sur le lit Poignets et chevilles enserrés dans les bracelets de cuir Le clic des mousquetons qui se referment, liant mes mains à mes pieds Me voilà livrée, immobile, sans possibilité de fuite 1 . 2 . 3 . 4 . 5 . 6 . 7 . 8 . 9 . 10 Fesse droite, fesse gauche, le martinet danse de l'une à l'autre 11 . 12 . 13 . 14 . 15 . 16 . 17 . 18 . 19 . 20 L'intensité monte 21 . 22 . 23 . 24 . 25 . 26 . 27 . 28 . 29 . 30 Mon dos me brule 31 . 32 . 33 . 34 . 35 . 36 . 37 . 38 . 39 . 40 Ca ne va pas ??? Tu n'as jamais frappé si fort !!! 41 . 42 . 43 . 44 . 45 . 46 . 47 . 48 . 49 . 50 Je ne peux plus retenir les premières larmes 51 . 52 . 53 . 54 . 55 . 56 . 57 . 58 . 59 . 60 Non, je ne veux pas, je ne veux pas craquer ... Pourtant les sanglots me submergent 61 . 62 . 63 . 64 . 65 . 66 . 67 . 68 . 69 . 70 J'ai mal ! Les cris restent prisonniers de ma gorge 71 . 72 . 73 . 74 . 75 . 76 . 77 . 78 . 79 . 80 Ne pas bouger, penser à autre chose ... Oh comme je te déteste ! 81 . 82 . 83 . 84 . 85 . 86 . 87 . 88 . 89 . 90 Je voudrais te mordre, te frapper mais mes entraves m'en empêchent 91 . 92 . 93 . 94 . 95 . 96 . 97 . 98 . 99 Nooooooooooooooooooooon, ça suffit !!!!!! Pourquoi t'ais-je à ce point provoqué ... Comment peux-tu aimer me faire souffrir de la sorte ! Comment peux-tu rester insensible à mes larmes !!!! Comment peux-tu ne pas entendre mon appel silencieux !!!!!!!!!
100 Tu arrêtes, passes devant moi Je ne relève même pas la tête Trop peur de ce que tu pourrais lire dans mes yeux J'ai mal J'ai peur Je te déteste Je pleure en silence Tu t'approches Une première pince sur le sein droit Je ne sens rien, ni plaisir, ni douleur Une deuxième sur le sein gauche Ca m'est égal, fais de moi ce que tu veux Je te déteste 101 . 102 . 103 . 104 . 105 . 106 . 107 . 108 . 109 . 110 Je me calme ... Tu comptes à ma place 111 . 112 . 113 . 114 . 115 . 116 . 117 . 118 . 119 . 120 Je me concentre sur ma respiration 121 . 122 . 123 . 124 . 125 . 126 . 127 . 128 . 129 . 130 Je pleure, en silence, de tout mon corps, de tout mon coeur 131 . 132 . 133 . 134 . 135 . 136 . 137 . 138 . 139 . 140 Ma tête se vide, je pars, je déconnecte 141 . 142 . 143 . 144 . 145 . 146 . 147 . 148 . 149 . 150 La douleur est intense mais tout sentiment de rage m'a abandonnée 151 . 152 . 153 . 154 . 155 . 156 . 157 . 158 . 159 . 160 Les pleurs me libèrent 161 . 162 . 163 . 164 . 165 . 166 . 167 . 168 . 169 . 170 Je me sens sereine, je t'aime 171 . 172 . 173 . 174 . 175 . 176 . 177 . 178 . 179 . 180 La rebelle est domptée 181 . 182 . 183 . 184 . 185 . 186 . 187 . 188 . 189 . 190 Un sentiment de fierté m'envahit ... Je touche au but, j'ai réussi, j'ai supporté, tu m'as menée au delà de mes limites 191 . 192 . 193 . 194 . 195 . 196 . 197 . 198 . 199 Aie !!!! La douleur est cinglante !!!! Le fouet a remplacé le martinet. Chaque coup qui tombe me rapproche en même temps de la fin, mais aussi du dernier qui, je le sais, sera le plus terrible 200 Communion de nos corps dans une ultime étreinte qui nous mène au plaisir partagé ... Je tremble Tu m'enveloppes de tes bras Chut, mon Amour .... Ne dis rien ... Un moment pareil ne peut s'habiller que de silence ... Merci
J'admire la retenue qu'elle a eu. J'ai encore du mal à supporter les coups. Le maximum que j'ai eu pour le moment c'est 100 il me semble. 5 coups peuvent parfois suffir à me faire fondre en larmes. L'objet de torture pour moi : la cravache. Elle me laisse des marques rapidement et elle a le don de me donner l'impression qu'on me lacère la chair. Mais une bonne fessée à main nue peut être aussi dévastatrice que tout autre objet. Dès que la douleur m'atteint, les larmes coulent c'est plus fort que moi. Je suis trop émotive peut être mais j'ai beau me mordre les joues parfois jusqu'à sang pour ne pas pleurer, rien n'y fait. J'aimerai un jour ne pas pleurer et endurer sans gémir pour étonner mon Maître le rendre fière. Mais, je pense qu'il aime aussi voir les larmes couler sur mes joues. Demain, punition. Peut-être que j'arriverai à me retenir ...
Tu te souviens du mot ?
Oui" (l'angoisse monte, c'est la première fois en 4 mois que tu me poses la question) Tu déposes le fouet et le martinet sur le lit "Déshabille-toi !" Le ton est sans équivoque Je tente une pirouette, me glisse sous la couette, emportant avec moi les instruments de la punition "Tant-pis" La couette vole, la ceinture s'abat, m'arrachant un hurlement de douleur Docile, à quatre pattes sur le lit Poignets et chevilles enserrés dans les bracelets de cuir Le clic des mousquetons qui se referment, liant mes mains à mes pieds Me voilà livrée, immobile, sans possibilité de fuite 1 . 2 . 3 . 4 . 5 . 6 . 7 . 8 . 9 . 10 Fesse droite, fesse gauche, le martinet danse de l'une à l'autre 11 . 12 . 13 . 14 . 15 . 16 . 17 . 18 . 19 . 20 L'intensité monte 21 . 22 . 23 . 24 . 25 . 26 . 27 . 28 . 29 . 30 Mon dos me brule 31 . 32 . 33 . 34 . 35 . 36 . 37 . 38 . 39 . 40 Ca ne va pas ??? Tu n'as jamais frappé si fort !!! 41 . 42 . 43 . 44 . 45 . 46 . 47 . 48 . 49 . 50 Je ne peux plus retenir les premières larmes 51 . 52 . 53 . 54 . 55 . 56 . 57 . 58 . 59 . 60 Non, je ne veux pas, je ne veux pas craquer ... Pourtant les sanglots me submergent 61 . 62 . 63 . 64 . 65 . 66 . 67 . 68 . 69 . 70 J'ai mal ! Les cris restent prisonniers de ma gorge 71 . 72 . 73 . 74 . 75 . 76 . 77 . 78 . 79 . 80 Ne pas bouger, penser à autre chose ... Oh comme je te déteste ! 81 . 82 . 83 . 84 . 85 . 86 . 87 . 88 . 89 . 90 Je voudrais te mordre, te frapper mais mes entraves m'en empêchent 91 . 92 . 93 . 94 . 95 . 96 . 97 . 98 . 99 Nooooooooooooooooooooon, ça suffit !!!!!! Pourquoi t'ais-je à ce point provoqué ... Comment peux-tu aimer me faire souffrir de la sorte ! Comment peux-tu rester insensible à mes larmes !!!! Comment peux-tu ne pas entendre mon appel silencieux !!!!!!!!!
100 Tu arrêtes, passes devant moi Je ne relève même pas la tête Trop peur de ce que tu pourrais lire dans mes yeux J'ai mal J'ai peur Je te déteste Je pleure en silence Tu t'approches Une première pince sur le sein droit Je ne sens rien, ni plaisir, ni douleur Une deuxième sur le sein gauche Ca m'est égal, fais de moi ce que tu veux Je te déteste 101 . 102 . 103 . 104 . 105 . 106 . 107 . 108 . 109 . 110 Je me calme ... Tu comptes à ma place 111 . 112 . 113 . 114 . 115 . 116 . 117 . 118 . 119 . 120 Je me concentre sur ma respiration 121 . 122 . 123 . 124 . 125 . 126 . 127 . 128 . 129 . 130 Je pleure, en silence, de tout mon corps, de tout mon coeur 131 . 132 . 133 . 134 . 135 . 136 . 137 . 138 . 139 . 140 Ma tête se vide, je pars, je déconnecte 141 . 142 . 143 . 144 . 145 . 146 . 147 . 148 . 149 . 150 La douleur est intense mais tout sentiment de rage m'a abandonnée 151 . 152 . 153 . 154 . 155 . 156 . 157 . 158 . 159 . 160 Les pleurs me libèrent 161 . 162 . 163 . 164 . 165 . 166 . 167 . 168 . 169 . 170 Je me sens sereine, je t'aime 171 . 172 . 173 . 174 . 175 . 176 . 177 . 178 . 179 . 180 La rebelle est domptée 181 . 182 . 183 . 184 . 185 . 186 . 187 . 188 . 189 . 190 Un sentiment de fierté m'envahit ... Je touche au but, j'ai réussi, j'ai supporté, tu m'as menée au delà de mes limites 191 . 192 . 193 . 194 . 195 . 196 . 197 . 198 . 199 Aie !!!! La douleur est cinglante !!!! Le fouet a remplacé le martinet. Chaque coup qui tombe me rapproche en même temps de la fin, mais aussi du dernier qui, je le sais, sera le plus terrible 200 Communion de nos corps dans une ultime étreinte qui nous mène au plaisir partagé ... Je tremble Tu m'enveloppes de tes bras Chut, mon Amour .... Ne dis rien ... Un moment pareil ne peut s'habiller que de silence ... Merci
J'admire la retenue qu'elle a eu. J'ai encore du mal à supporter les coups. Le maximum que j'ai eu pour le moment c'est 100 il me semble. 5 coups peuvent parfois suffir à me faire fondre en larmes. L'objet de torture pour moi : la cravache. Elle me laisse des marques rapidement et elle a le don de me donner l'impression qu'on me lacère la chair. Mais une bonne fessée à main nue peut être aussi dévastatrice que tout autre objet. Dès que la douleur m'atteint, les larmes coulent c'est plus fort que moi. Je suis trop émotive peut être mais j'ai beau me mordre les joues parfois jusqu'à sang pour ne pas pleurer, rien n'y fait. J'aimerai un jour ne pas pleurer et endurer sans gémir pour étonner mon Maître le rendre fière. Mais, je pense qu'il aime aussi voir les larmes couler sur mes joues. Demain, punition. Peut-être que j'arriverai à me retenir ...
Mer 9 sep 2009
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