Texte Libre

soumise.sophie

Bonjour, et bienvenu sur le blog de soumise Sophie.

Je suis Romain son maitre.

Sophie à 20 ans et est ma soumise depuis plus d’un an vous découvrirez à travers ce blog ses aventures, envies, et nous vous ferons découvrir son avancé.

Elle a signé un contrat de soumission et doit être percée prochainement.

Nous vous en dirons plus lorsque le site sera réellement utilisé.

Laissez nous des messages sur vos envies de rencontres ou vos commentaires.

Maitre Romain

Lundi 17 août 1 17 /08 /Août 21:43
Bonsoir à tous,

Désolée pour cette longue absence mais de nombreux bouleversements ont eu lieu dans ma vie personnelle ainsi que dans ma "vie" de soumise allant jusqu'à une séparation avec mon Maître.
Mais le besoin de mon Maître se faisant de plus en plus ressentir, je suis de retour et selon les souhaits de mon Maître, le blog va lui aussi évoluer. Il sera maintenant mon journal intime, mon confident où mes pensées, désirs, envies seront dévoilés de manière quotidienne.

 Aujourd'hui, c'était le grand jour des retrouvailles après un mois de séparation. Plusieurs sensations jouaient en moi: excitation, appréhesion, stress ... Je m'imaginais de tendres retrouvailles face à l'absence de l'un et l'autre. Ellles furent quelque peu éprouvantes pour moi. Des larmes coulèrent de douleur, de déception, de je ne sais quoi. C'est ces moments où tous les sentiments se mélangent dans votre tête et vous ne savez pas lequel suivre.
Mais malgré cela, sentir les mains de mon Maître parcourir mon corps, le sentir en moi me font oublier tout le reste. Je me laisse aller, je me vide la tête et profite de ses quelques moments d'unité qui me manquaient tant.

Demain, ça sera quoi ? Humiliation, souffrance, plaisir ? Surprise ...
Par maitre romain
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Lundi 4 mai 1 04 /05 /Mai 08:16

L’absence me fait rappeler toutes ses choses que j’aime. Mon esprit divague à ce que je souhaite, ce que je veux, ce que je désire.

J’aime sa queue, sa manière de me posséder, son ardeur. J’aime me sentir remplie de ce membre qui me transperce, m’emporte. J’aime sentir cette queue se décharger en moi, ses mains s’agripper à ma poitrine pour la titiller, la travailler.

J’aime sentir sa main agripper mes cheveux pour m’intimer de sucer sa queue, j’aime me sentir la seule à avoir ses faveurs, j’aime sentir sa queue dans mon cul.

Son indifférence ne me plaît pas. J’aime le sentir s’approcher de moi, sentir sa queue grossie dans mon dos, ses mains me parcourir, m’effeuiller, me mettre à nue.

Auparavant, je n’osais me mettre nue par pudeur, timidité. Maintenant, j’aime prendre le temps de retirer chaque vêtement, le laisser glisser sur mes courbes. Il aime mon corps nu et j’aime jouer de cela. Je veux qu’il me désire, qu’il me prenne sans hésitation, qu’il s’empale en moi.

Sa queue cognant dans ma gorge, déchargeant son jus dans ma bouche, ma langue récupérant chaque goutte de mon breuvage.

Mes attributs me rendant alors plus chienne pour répondre à mon Maître, à ses ordres, ses envies. Moi, à quatre pattes à suivre son sillon, mon esprit envisageant chaque action future mais ne désirant qu’une chose : l’appartenir.

La monotonie est ma crainte de ce lien qui nous unit mais je sais que chaque rencontre est une surprise avec des envies et des désirs toujours présents. Il est mon Maître, je suis sa chienne : j’obéis, je lèche, je suce, je me fais prendre...

Je ne suis que cet objet de désir, ce jouet répondant à ses envies. Pourtant, j’aime et j’aimerais ce que je suis : son esclave, son objet, sa chienne.

Par maitre romain
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Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 17:47

C’était une après-midi spéciale qui s’annonçait. J’allais faire mes premiers pas de dominatrice au côté de mon Maître. L’idée n’était pas de moi bien sûr mais de mon très cher Maître.

Un jour comme un autre, il m’a demandé si ça me disait de dominer un soumis pendant une après-midi à ses côtés. Je me suis dis pourquoi pas. J’aime la nouveauté et les défis donc je me suis lancée dans ce côté que je ne connaissais pas : la DOMINATION.

Je ne voyais pas trop comment les choses allaient se passer et d’une certaine manière, je ne voulais y penser. Quelques semaines sont passées avant que le sujet ne revienne. La date était enfin fixée. Le mercredi 25 février allait être spécial pour moi.

Le jour J arriva rapidement que je l’avais à peine remarqué. La seule obligation de mon Maître était que je sois le plus accessible possible : jupe et décolleté sans dessous étaient de rigueur. Un homme répondant à mes ordres !!!! J’étais à la fois intriguée et anxieuse de cet inconnu. Tout ce que je savais de lui, m’avait été dit 30 min avant la rencontre. Il aime être habillé en soubrette, les coups… Un homme aimant s’appeler Estelle et s’habiller en fille !!!! Je fus quelque peu déroutant. J’aime les hommes dans toute leur splendeur, me dominant.

Nous avons tout préparé pour l’accueillir : fouet, badine, cravache, menottes, plug… La table était jonchée de tous ses objets qui m’étaient maintenant si familier. Aujourd’hui, il n’était pas là pour moi mais pour quelqu’un d’autre. Je patientai calmement dans le canapé le retour de mon Maître et de mon « nouveau jouet ». J’entendais des voix. Ils arrivaient.

Je me suis levée pour les accueillir. Mon maitre entra en premier suivit d’ « Estelle ». Il était de taille moyenne, rasé, propre sur lui. En aucun cas, nous ne pouvions imaginer ses penchants. Je commençais à devenir quelque peu nerveuse et un peu intimidée. Il ou plutôt elle est partie se changer dans le salon. Je ne savais que faire ayant l’habitude d’être diriger et non de diriger. La voix de mon Maître me tira de mes pensées.

« - Va voir si Estelle est prête.

- Oui, Maître. »

            En effet, elle était prête et nous attendait dans le salon. Elle avait revêtu une jupe écossaise, un chemisier avec des talons hauts. Le tout vêtu d’un collant. J’avais un peu de mal de voir un homme ainsi accoutré. Je m’efforçai de ne pas échapper un sourire. Mon Maître arriva derrière moi et nous nous sommes assis.

« - Sophie, explique les règles à Estelle.

- C’est-à-dire ?

- Explique lui comment doit-on se comporter en tant que soumise.

- On doit répondre à chaque désir de son Maître. Si on commet une faute, nous sommes punis selon la gravité de la faute. Il faut alors compter chaque coup et remercier son Maître à la fin de ceux-ci. On doit le respect à son Maître.

- C’est bien. Et qu’en est-il de la tenue ?

- On doit être accessible à tout moment pour servir son Maître », dis-je avec un grand sourire.

« - Et par conséquent, que mérites Estelle ?

- Une punition, Maître ».

            Sur ces mots, il se leva et se dirigea dans la salle à manger et prit la cravache, la badine et alla dans le bureau vers le clic-clac.

« - A toi de t’occuper de cette punition. De plus, Estelle a perdu mon numéro de portable.

- A combien de coups estimes-tu ta punition, Estelle ? ». Ses mots, je les avais entendus maintes fois de la bouche de mon Maitre.

« - 10 coups par fautes, Maîtresse. » Je faillis lâcher un hoquet de surprise n’ayant l’habitude de ce mot : « MAITRESSE ». Les résonnances de ce mot sonnaient bizarrement à mon oreille.

« - Choisi ton instrument, Sophie. Par quoi as-tu envie de commencer ? La cravache, la badine ou la main ?

- La cravache, je pense.

- Bien commence. »

            Je pris l’instrument en main et me rappela les conseils de mon Maître pour faire le plus mal possible. Le premier coup partit. Les mains moites, je resserrai l’objet dans ma main. Une marque rouge apparut au premier coup. Les coups s’enchaînèrent sans qu’Estelle ne laisse échapper une plainte. Les dix coups de cravache furent terminés rapidement.

Je contemplai le résultat. Il ou plutôt elle marquait plus que moi. Mon Maître le remarqua aussi. Je pris la badine dans ma main mais avant que je puisse commencer, je senties la main de mon Maître se glisser sous ma jupe et un doigt inquisiteur visita ma chatte humide. Mon regard croisa le sien et je vis ses yeux pétiller. Il voyait que j’appréciais donner des coups et je n’y allais pas de main morte.

Les dix coups de badine passèrent rapidement. Je veillai à frapper chaque parcelle de ses fesses laissant alors des marques de plus en plus rouges. J’en venais aux mains. Je ne me croyais pas d’une force pareille. A la fin des dix coups, ma main était rouge et engourdie. Mon Maître me caressa la paume rougie par les coups et me massa délicatement les doigts. J’aurais voulu me faire prendre sur le champ devant ses yeux et comprendre ce qui nous liait. Mais rien n’y fit.

« - Qu’as-tu envie de faire maintenant ?

- Pourquoi ne pas l’attacher pendant un moment ? » avec un sourire en coin.

Je découvris ce nouveau côté de ma personne avec étonnement. Mais, j’étais gênée de faire endurer cela à Estelle. Je me mettais à sa place, je savais ce que c’était. Ses poignets et chevilles étaient liés par les menottes. Je pris ses poignets et les plaça derrière son dos et releva ses chevilles pour lier le tout par le biais d’une chaine. J’étais contente du résultat. Mon Maître arriva derrière moi avec les pinces. Je plaçai les deux premières sur ses tétons et les deux dernières sur ses couilles. Après les avoir placé, je me dirigea dans le salon vers mon Maître. Je m’assis à ces côtés reposant ma tête sur son torse.

« - Alors, comment trouves-tu ton nouveau rôle ?

- Je suis mal à l’aise. Je n’ai pas l’habitude de devoir donner des ordres, de faire du mal. C’est vrai que j’ai apprécié donner des coups mais je ne me sens pas à ma place. J’aime me faire dominer et pas l’inverse. Je ne sais même pas ce que je pourrais lui donner à faire.

- La machine vient de terminer. Tu n’as qu’à lui dire de l’étendre et s’il fait une faute, tu le puniras en conséquence. » Tout en disant ses mots, un large sourire apparut sur son visage.

« - Pourquoi souris-tu ainsi ?

- Je suis content de savoir que tu ne sens pas une âme de dominatrice. »

            J’étais contente de savoir que mon Maître était satisfait de mes actions et de mes propos. Je ne sais combien de temps passa mais j’alla délivrer Estelle et lui pria de me suivre à quatre pattes sur le sol. Je lui intima l’ordre d’étendre le linge dans le plus simple appareil et la suivit dans le jardin pour suivre ses fautes.

Elle en commit deux en laissant tomber le linge sur le sol. Je retiens ses fautes et rentra dans la maison à ses côtés. Je divulgua les fautes à mon Maître qui intima à Estelle de nous attendre en position sur le clic clac. Quand nous étions enfin seul, ton ordre fusa :

« - Mets-toi nue vu que ton nouveau rôle ne te conviens pas. Et j’aime te voir nue. »

Je fis tomber la jupe sur le sol et retira mon tee shirt qui rejoignit rapidement la jupe. Je me retrouva ainsi seulement vêtue de mes bas noires et de mes talons. Mon Maître se pencha pour me mettre mes « bijoux » qui me renvoyaient à mon rang de chienne : mon collier, mes menottes. Enfin parée, je suivis mon Maître dans la pièce.

« - Sophie n’aime pas son nouveau rang par conséquent elle occupe le rang qu’elle apprécie. Mets-toi sur le lit en position à côté d’Estelle et regarde là.

- Oui, Maître. »

Je me plaçai à côté d’elle et je ne tenais pas à croiser son regard. Je senties les pinces se resserrer sur mes tétons. Les mâchoires mordaient ma peau. Je ne supportais toujours pas cet objet de torture.

« - Mettez-vous à quatre pattes que je puisse voir vos culs alignés.

- Oui, Maître. » Nos paroles unis pour répondre à mon Maître.

Alors que je me plaçai pour répondre aux ordres de mon Maître, Estelle tira sur les chaînes les arrachant de mes tétons me faisant gémir du mal causé par sa non délicatesse.

« - Oh, tu as du avoir mal » alors que ces doigts passaient sur mes tétons rougis.

Je me plaça à la position demandée. Je senties les doigts de mon Maître inquisiteur dans ma chatte puis dans mon cul. Ce n’était plus un doigt mais un plug qui se glissa dans mon cul avec une simplicité déconcertante. Mon Maître s’occupait du cul d’Estelle lui enfonçant des baguettes chinoises une à une. Une grande première pour elle. Je me souvenais des baguettes un bon souvenir pour mon Maître et moi.

Je patientai l’esprit ailleurs que dans cette pièce de plus en plus excitée par la situation. Si seulement mon Maître s’occupait plus de moi. D’une certaine manière, j’étais jalouse d’elle. J’aime que mon Maître s’occupe de moi et que de moi.

Je ne sais combien de temps a passé mais les mouvements du plug dans mon cul me sortit de mes pensées.

« - Voit Estelle comment elle aime ça. Elle mouille comme une chienne. Hein, Sophie ?

- Oui, Maître » tout en continuant ses mouvements me rendant de plus en plus excitée. Puis, plus rien. Il m’avait quitté laissant un vide en moi.

«  - Va te rhabiller Estelle pendant que je détache Sophie.

- Oui, Maître. »

Les mains de mon Maître me libérèrent de mes liens. Quelle serait la suite pour moi ? La réponse arriva rapidement.

« - Tu vas pouvoir te rhabiller maintenant. »

Je pris mes affaires sur le sol et me rhabilla calmement, déçue de la fin rapide de cette après-midi. J’avais envie de mon Maître, de ses mains sur moi, de ses ordres. Mais, ça n’était pas le cas aujourd’hui.

Nous discutâmes comme si de rien n’était comme des amis se découvrant. Quand Estelle fut partie, je me plaça aux pieds de mon Maître. Sa main glissa sur ma nuque comme un signe de possession.

« - Je suis contente que tu aimes ton rôle plus que celui que tu as pris cet après-midi. »

Moi aussi, j’étais contente de cette expérience. J’ai pris conscience de mes désirs, de mes envies. Ce qui faisait de moi une bonne chienne répondant à mon Maître m’apparaissait devant mes yeux. J’étais à LUI.

Par maitre romain
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Mardi 23 décembre 2 23 /12 /Déc 11:30

Bonjour,

Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année. Je publis aujourd'hui le récit de l'après midi de retrouvaille que j'ai eu avec sophie au moon city à paris. Un établissement très agréable que je recommande à tous! sophie ne voulait pas vous faire partager ses moments, mais heureusement son statut ne l'autorise pas à prendre cette décision.

À bientôt

 

C’était le jour de nos retrouvailles après une longue absence due à mon handicap. J’attendais ce jour avec une certaine impatience car je savais que j’aurais une surprise pour ce jour spécial.

J’avais hâte de retrouver ses instants charnels, vos mains sur moi, le poids de votre corps sur moi… L’endroit où vous deviez m’emmener était resté secret jusqu’au bout. Mais quel était cet endroit ? Venant de vous, je m’attendais à tout d’où cette sensation d’excitation et de crainte.

Pendant tout le trajet, cela me turlupiner mais je faisais comme si de rien n’était égale à moi-même. Vous étiez fatigué de la nuit de travail effectué.

Après avoir effectué tout ce que nous devions faire, nous sommes partis à moto dans Paris dans un quartier où vous m’aviez emmené une fois pour choisir un objet de correction. Nous nous sommes garés et je vous ai suivi jusqu’à une devanture sombre avec de grandes portes de bois. J’ai levé la tête pour voir l’inscription : Hammams, Spas…

Chouette, de la détente. Intérieurement, j’explosais de joie. Un moment de détente tous les deux. Nous sommes entrés, pris les vêtements fournis (un paréo et une serviette) et les clés de nos casiers. Je compris alors que nous étions dans un espace de nudistes. Un peu gênée de me dévoiler aux yeux de tout le monde, je me suis vite détendue.

Après une rapide visite des lieux, nous sommes allés nous installé dans le jacuzzi. Deux autres couples y été présents. J’étais bien. Ils nous dévisageaient mais je m’en fichais ; j’étais contre vous à discuter tranquillement dans le plus simple appareil. Tout ce qui m’entourait n’exister plus. Je ne pensais plus qu’à votre corps, vos envies, mes envies. Après un certain temps dans le jacuzzi, nous sommes sortis de l’eau et sommes allés dans le sauna pour nous réchauffer.

A peine rentré dedans, nous sommes tombés sur un couple en pleine ébat. D’abord surprise, j’ai enfin compris le but de ce lieu : se faire plaisir tout en se détendant. Malgré notre présence, le couple continuait à se caresser, gémir faisant alors monter l’envie en moi de me faire prendre sur le champ. Cela à du se traduire dans mon regard car votre main se glissa sur ma chatte humide de désir. Enfin, je sentais ses doigts inquisiteurs que j’aimais tant. Ma tête sur votre épaule, je fermais les yeux pour savourer ses doux moments. Je devenais plus en plus excitée par l’action de vos doigts et les gémissements de nos voisins.

Après encore quelques instants, nous sommes sortis du sauna chauffés par la chaleur de celui-ci et de l’excitation de tous les deux. Des coins lounges étaient à notre disposition où des couples consommés leur désir. Des bruits de fessées, de gémissements, de baiser se faisaient entendre.

Vous avez fermé les volets et la porte de notre lounge pour plus d’intimité.

« -Que veux-tu maintenant ?

- Je veux prendre du plaisir et en donner.

- Bien. Suce-moi maintenant et mets-toi à quatre pattes au-dessus de moi. »

Je commençais la tâche qui m’était demandé. Enfin, je sentais votre queue en moi. Votre langue parcourait ma chatte qui vous réclamer depuis longtemps. Je sentais la chaleur et l’excitation grandir de plus en plus en moi. La vôtre aussi : votre queue grossissait de plus en plus sous les caresses de ma langue. Puis, soudain, j’ai senti votre main saisir mes cheveux pour m’ordonner d’arrêter.

« -Viens t’empaler sur moi maintenant. »

Je me suis retournée et venue m’empaler sur ce membre grossi de désir et d’envie. Me voilà enfin pleine de vous, de votre queue. Mes va et vient étaient lents pour savourer ce moment de délectation. Mais, je voulais autre chose des retrouvailles sauvages, pénétrantes.

« - Puis-je te demander quelque chose ?

- Oui, aujourd’hui, c’est ta journée alors profites-en.

- Je voudrais sentir mon Maître encore plus profondément.

- C’est-à-dire ?

- Je veux qu’il prenne comme une chienne.

- Bien, mets-toi à quatre pattes. »

Contente que mes envies soient exaucées, je me plaça et offrit mon cul à mon Maître. Votre queue s’introduisit dans ma chatte et puis commença ses allers-retours qui commencèrent à me faire gémir. J’en voulais plus et vous aussi. Vous vous êtes retirés et avez présenté votre gland à la porte de mon cul. Vous avez forcé la porte et vous introduisit de toute votre longueur. Que c’est bon, cette sensation m’avait manqué. D’abord lents puis rapides, vos coups de reins me faisaient gémir de plaisir au bord de la défaillance. Je n’en pouvais plus. Je vous senti jouir en moi, votre queue se contractant pour laisser jaillir le fruit de votre jouissance. Je vous rejoignis peu de temps après. Epuisée, je resta allongée quelques instants le souffle coupé de ses retrouvailles.

« - Viens. Allons boire quelque chose. »

Je vous ai suivi tenant à peine sur mes jambes suite à nos ébats. Le regard des gens m’indifférait bien au contraire j’aimais cette sensation de me dévisager. Je me sentais désirable et fière d’appartenir à cet homme. D’une certaine manière, je leur étais inaccessible et je jouais de cela.

Après avoir bu nos verres et mangé quelque peu, nous avons décidé d’aller dans le hammam. A peine rentrer dans le hammam, la chaleur nous a saisi. Plusieurs couples avaient élu domicile à cause du faible éclairage, de la buée et de la chaleur. Des femmes gémissaient sous les doigts, les queues de leurs compagnons. J’avais de nouveau envie de me faire prendre. Mes mains caressaient votre nuque comme pour vous envoyer un message et je vous murmurais à l’oreille :

« - Mon Maître a-t-il encore envie de m’utiliser ? ».

Je vis cette réplique vous faire sourire. Alors que votre main glissa entre mes cuisses pour que vos doigts caressent ma chatte excitée, votre réponse fut immédiate :

« - Tu n’as qu’à vérifier par toi-même. »

Mon regard se dirigea vers votre queue déjà dressée elle-aussi par la situation qui nous entourait. Je ne voulais qu’une chose la sentir en moi, dans ma bouche, dans ma chatte, dans mon cul. Nous avons quitté le hammam, passé rapidement sous la douche froide et allé vers le sauna alors inoccupé. Après s’être assis, votre regard s’est tourné vers moi et votre main empoigna mes cheveux. Je compris tout de suite votre envie.

Ma tête pencha vers votre queue au garde à vous. Je l’engloutie et commença à malaxer de ma langue cette queue gorgée de plaisir. Votre main vint alors caresser ma chatte toute excitée, humide voire dégoulinante de désir de me faire prendre. Trop occupée par ma tâche, je n’avais pas entendu les personnes rentrer dans le sauna pour tomber sur nous deux en pleine action. Après quelques instants, ce n’est que votre main agrippant mes cheveux qui me rappela à la réalité. Vous vous êtes levé et dirigé vers la sortie. J’étais à la limite de quémander.

Une femme suçait un homme alors qu’un autre la caressait. Ses gémissements se faisaient entendre. Ce spectacle ne faisait qu’augmenter mon excitation déjà présente. Je vous ai suivi jusqu’à un lounge plus spacieux que la première fois. Vous vous êtes allongé, moi, j’attendais vos ordres.

« - Fais ce quoi tu es destinée. Suce-moi et occupe-toi de mon cul s’en que j’ai besoin de te le dire, Chienne. »

Enfin, ce doux mot résonnait à mes oreilles. Je n’étais pas abandonnée. Je commença à parcourir ma langue le long de votre verge alors que mes mains malaxaient vos couilles. J’engloutis votre queue et entrepris les allers et viens tout en m’occupant de vos couilles. Après quelques minutes, ma langue inquisitrice se dirigea vers votre cul que vous m’avez empressé de m’offrir. Je savais que vous aimiez cela. Ma langue malaxant votre rondelle, ma tête entre vos fesses…

Je devenais de plus en plus excitée. Je voulais me faire prendre. Je repensais alors à vos propos quelques temps plus tôt. J’arrêta ma tâche et vous demanda :

« - Puisque c’est ma journée, serait-il possible que mon Maître prenne mon cul. »

Je sentis vos mains prendre mes fesses à pleines mains fermement puis les relâcher.

« - ça y est. C’est fait.

- Je ne parlais pas de ça. Je veux sentir votre queue dans mon cul me labourer. »

Sur ces mots, vous vous êtes levé du lounge me pris par la taille fermement pour présenter mon cul à votre queue. Le fait de sentir votre gland sur ma rondelle m’excitait déjà. Votre queue s’introduisit en moi de toute sa longueur. Mes yeux se fermèrent profitant de cette sensation de remplissage que j’aimais tant. Le premier coup de rein se fit sentir et me coupa le souffle. Encore, encore, j’en voulais toujours plus, plus percutant encore. Vous avez du lire dans mes pensées car vos coups de reins s’amplifièrent. Vos cuisses claquaient sur mes fesses, mes gémissements se faisaient de plus en plus forts, rapides. Je joui enfin de ce moment sauvage que j’aime tant et vous m’avez rejoins quelques instants après.

J’étais sur une autre planète. J’aurais voulu garder cette sensation une éternité. Mais, nous devions partir. Je tenais à peine debout après ce dernier corps à corps. Je m’appuyais au mur pour ne pas tomber. A peine sorti du lounge, des couples patientaient et avaient alors entendu nos ébats. Je souriais, heureuse de ce moment et suivi mon Maître. Nous sommes allés nous rhabiller, pressé par le temps. Un homme me dévisageait du regard alors que je me regardais en sous-vêtements devant la glace. J’aime cette sensation d’être à la fois désirable et inaccessible.

Nous sommes partis de cet endroit pour retourner à la vie réelle. J’aurais voulu ne jamais partir.

« - Merci beaucoup pour cette après-midi. J’ai beaucoup aimé. »

Un sourire s’était dessiné sur votre visage. Je ne pensais qu’à une chose : A quand la prochaine fois ?

Par maitre romain
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Mardi 25 novembre 2 25 /11 /Nov 09:59

Bonjour,

Je suis désolé de vous apprendre que Sophie a le bras cassé.

Elle devrait revenir bientôt sur le blog avec ses nouvelles aventures en particulier de lèvres percées.

Mais pour l’instant elle se repose.

Je vous ferais encore paraitre des récits de ses envies.

Je suis surpris de ne pas avoir reçus beaucoup de réponses de personnes ou couples voulant se joindre à nous.

A bientôt

Maitre Romain.

Par maitre romain
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