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soumise.sophie

Bonjour, et bienvenu sur le blog de soumise Sophie.

Je suis Romain son maitre.

Sophie à 20 ans et est ma soumise depuis plus d’un an vous découvrirez à travers ce blog ses aventures, envies, et nous vous ferons découvrir son avancé.

Elle a signé un contrat de soumission et doit être percée prochainement.

Nous vous en dirons plus lorsque le site sera réellement utilisé.

Laissez nous des messages sur vos envies de rencontres ou vos commentaires.

Maitre Romain

Lundi 28 septembre 1 28 /09 /Sep 21:21

Bonjour ou plutôt bonsoir à tous !!!

Et oui me voilà de retour après quinze jours où la forme n'était pas au rendez-vous mais pas de grippe cochonne (comme le dit si bien mon Maître ).

Apparament, le mois d'octobre va être le mois du challenge. Mon Maître a de grands projets en tête : une soirée ensemble, une journée de "sauterie" ou plutôt d'utilisation à outrance de mon corps et de ma bonne soumission. Enfin bref, ce mois va être riche en émotions fortes.

Pendant ces quinze jours, mon Maître m'a manqué en tout cas : sa présence, sa soif d'envies ... Je suis très heureuse de le retouver de passer des moments avec Lui. J'aime m'occuper de Lui et parfois plus qu'il ne s'occupe de moi. Et mon plaisir suprême : le voir le sentir jouir. Et oui, c'est la récompense à la chienne pour sa bonne conduite ...

Par maitre romain
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Lundi 14 septembre 1 14 /09 /Sep 21:10
Bonsoir à tous,

J'espère que vous allez bien. Pour ma part, un petit coup de mou et un peu malade. Par conséquent, je m'absente des jeux et des envies qui sont les miennes pour un petit moment qui sera court je l'espère.
Portez-vous bien.

A très bientôtpour de nouveaux récits et bien plus encore ...
Par maitre romain
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Vendredi 11 septembre 5 11 /09 /Sep 22:04

J'aime le sexe. Il est devenu indispensable à ma vie comme une drogue à cause ou grâce à mon Maître. Au-delà du lien de domination - soumission, il a été le premier homme à qui je me suis donnée.
J'aime lui être désirable et voir que mes actes, efforts lui donnent du plaisir. J'aimerais lire en lui, rentrer dans sa tête lors d'une séance pour voir ce qu'il pense, ressent, ce que je pourrais faire pour le satisfaire davantage et anticiper ses envies.
Je n'ai pas l'âme d'une dominatrice. Je l'ai vécu une fois et je ne me sentais pas à ma place. J'aime qu'un homme me domine, me prenne comme il le souhaite, montre que c'est lui qui décide. J'ai franchi de nombreuses étapes petit à petit dans la souffrance comme dans le plaisir. Je ne regrette aucun des actes effectués jusqu'à ce jour et je suis même heureuse de les avoir réalisée. Je veux que mon Maître soit fière de moi, fière de celle que je suis devenue grâce à lui et pour lui. Je suis sa chienne, son esclave, son objet de désirs et d'envies, son ombre. Car comme une chienne, je ne suis jamais bien loin derrière lui ...

Par maitre romain
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Vendredi 11 septembre 5 11 /09 /Sep 16:24

Aujourd’hui, je vous écris aux pieds de mon Maître comme la bonne chienne que je suis.

Cette semaine, faute de temps, je n’ai pu passer beaucoup de temps avec mon Maître à mon plus grand regret.

Or, quand je suis arrivée tout à l’heure, il m’attendait de pied ferme.

«  - Quand tu auras fini les choses que tu as à faire, je te veux nue dans mon bureau.

- Bien, Maître. »

 

Après avoir fait les deux trois choses que j’avais à faire, je me débarrassais de ton vêtement : mon jean glissa sur le sol suivi de mon pull, de mon débardeur et de mes sous-vêtements rouges. Seuls mes talons hauts résistaient. Je me suis dirigée vers son bureau.

« - Prends dans l’armoire ton collier et tes bracelets. »

J’ouvris la porte et m’empara de mes attributs. Alors que je retirai mes chaussures et allais mettre mon premier bracelet, il me dit :

« - Laisse, je vais m’en occuper. »

Je le suivis alors dans une autre pièce et m’agenouilla en l’attendant. Un claquement de doigt me fit signe de monter sur le canapé. Mon Maître plaça alors mon collier autour de mon cou et très rapidement suivi par mes bracelets. Il partit alors et revint quelques instants plus tard avec un manche qui allait servir d’écarteur. Il le plaça entre mes jambes qui se retrouvèrent alors très écartées. Mes muscles le ressentirent de suite. Mes poignets allèrent alors au centre pour ainsi écarter au maximum mes jambes puis mon Maître remonta un maximum mes bras pour lui être alors totalement offerte. Mes muscles souffraient déjà d’une telle posture. Un bâillon trouva alors refuge dans ma bouche. Le goût du caoutchouc m’envahit instantanément la bouche.

Quelque chose de froid rencontra mon anus. Je reconnus aussitôt le lubrifiant puis quelque chose força. Un god se trouva alors logé entre mes fesses. Je le sentais rentrer en moi de toute sa longueur. Mon Maître joua sur la vitesse de pénétration et les rotations. Je me retrouva vite excitée et je ne pensais plus qu’à une chose : remplacer ce membre de plastique par un vrai en chair, celui de mon Maître.

Après au moins cinq minutes de va-et-vient, le souffle court, mon Maître s’arrêta et passa ses mains sur ma poitrine qui lui était offerte. Mes jambes me faisaient de plus en plus souffrir.

«  - Peux-tu retirer toi-même le bâillon ? »

Je fis oui d’un signe de la tête.

«  - Bien, je ne veux pas t’entendre ou alors seulement si tu as besoin de quelque chose ou si tu as mal. »

Je retira aussitôt l’objet qui emprisonnait mes paroles :

« - Mes jambes me font mal Maître. »

Sur ses mots, il me détacha puis alla loger un plug dans mon cul

« - Prends ton ordinateur et suis-moi dans mon bureau. »

Ainsi garni, je le suivis dans son bureau. Il plaça alors mon ordinateur sur le sol.

«  - Que peux-tu faire ainsi ?

- M’occuper de mon Maître.

- Bien mais encore ...

- Ecrire ?

- Oui et si tu ne tapes pas sur le clavier, je veux tu me caresses.

- Bien, Maître. »

 

Et me voilà sur le sol à relater ces instants. Mais  après avoir bien tapée sur mon ordinateur, je vais vous laisser et aller m’occuper de mon Maître ...

 

Par maitre romain
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Mercredi 9 septembre 3 09 /09 /Sep 21:01
Un texte que mon Maître a particulièrement aimé ...

Tu te souviens du mot ?

Oui"
(l'angoisse monte, c'est la première fois en 4 mois que tu me poses la question)
Tu déposes le fouet et le martinet sur le lit
"Déshabille-toi !"
Le ton est sans équivoque
Je tente une pirouette, me glisse sous la couette, emportant avec moi les instruments de la punition
"Tant-pis"
La couette vole, la ceinture s'abat, m'arrachant un hurlement de douleur
 
Docile, à quatre pattes sur le lit
Poignets et chevilles enserrés dans les bracelets de cuir
Le clic des mousquetons qui se referment, liant mes mains à mes pieds
Me voilà livrée, immobile, sans possibilité de fuite
 
1 . 2 . 3 . 4 . 5 . 6 . 7 . 8 . 9 . 10
Fesse droite, fesse gauche, le martinet danse de l'une à l'autre
 
11 . 12 . 13 . 14 . 15 . 16 . 17 . 18 . 19 . 20 
L'intensité monte
 
21 . 22 . 23 . 24 . 25 . 26 . 27 . 28 . 29 . 30
Mon dos me brule
 
31  . 32 . 33 . 34 . 35 . 36 . 37 . 38 . 39 . 40
Ca ne va pas ??? Tu n'as jamais frappé si fort !!!
 
41 . 42 . 43 . 44 . 45 . 46 . 47 . 48 . 49 . 50
Je ne peux plus retenir les premières larmes
 
51 . 52 . 53 . 54 . 55 . 56 . 57 . 58 . 59 . 60
Non, je ne veux pas, je ne veux pas craquer ... Pourtant les sanglots me submergent
 
61 . 62 . 63 . 64 . 65 . 66 . 67 . 68 . 69 . 70
J'ai mal ! Les cris restent prisonniers de ma gorge
 
71 . 72 . 73 . 74 . 75 . 76 . 77 . 78 . 79 . 80
Ne pas bouger, penser à autre chose ... Oh comme je te déteste !
 
81 . 82 . 83 . 84 . 85 . 86 . 87 . 88 . 89 . 90
Je voudrais te mordre, te frapper mais mes entraves m'en empêchent
 
91 . 92 . 93 . 94 . 95 . 96 . 97 . 98 . 99
Nooooooooooooooooooooon, ça suffit !!!!!! Pourquoi t'ais-je à ce point provoqué ... Comment peux-tu aimer me faire souffrir de la sorte ! Comment peux-tu rester insensible à mes larmes !!!! Comment peux-tu ne pas entendre mon appel silencieux !!!!!!!!! 

100
 
Tu arrêtes, passes devant moi
Je ne relève même pas la tête
Trop peur de ce que tu pourrais lire dans mes yeux
J'ai mal
J'ai peur
Je te déteste
Je pleure en silence
Tu t'approches
Une première pince sur le sein droit
Je ne sens rien, ni plaisir, ni douleur
Une deuxième sur le sein gauche
Ca m'est égal, fais de moi ce que tu veux 
Je te déteste
 
101 . 102 . 103 . 104 . 105 . 106 . 107 . 108 . 109 . 110
Je me calme ... Tu comptes à ma place
 
111 . 112 . 113 . 114 . 115 . 116 . 117 . 118 . 119 . 120
Je me concentre sur ma respiration
 
121 . 122 . 123 . 124 . 125 . 126 . 127 . 128 . 129 . 130
Je pleure, en silence, de tout mon corps, de tout mon coeur
 
131 . 132 . 133 . 134 . 135 . 136 . 137 . 138 . 139 . 140
Ma tête se vide, je pars, je déconnecte
 
141 . 142 . 143 . 144 . 145 . 146 . 147 . 148 . 149 . 150
La douleur est intense mais tout sentiment de rage m'a abandonnée
 
151 . 152 . 153 . 154 . 155 . 156 . 157 . 158 . 159 . 160
Les pleurs me libèrent
 
161 . 162 . 163 . 164 . 165 . 166 . 167 . 168 . 169 . 170
Je me sens sereine, je t'aime
 
171 . 172 . 173 . 174 . 175 . 176 . 177 . 178 . 179 . 180
La rebelle est domptée
 
181 . 182 . 183 . 184 . 185 . 186 . 187 . 188 . 189 . 190
Un sentiment de fierté m'envahit ... Je touche au but, j'ai réussi, j'ai supporté, tu m'as menée au delà de mes limites
 
191 . 192 . 193 . 194 . 195 . 196 . 197 . 198 . 199
Aie !!!! La douleur est cinglante !!!! Le fouet a remplacé le martinet. Chaque coup qui tombe me rapproche en même temps de la fin, mais aussi du dernier qui, je le sais, sera le plus terrible
 
200
 
Communion de nos corps dans une ultime étreinte qui nous mène au plaisir partagé ...
 
 
Je tremble
Tu m'enveloppes de tes bras
Chut, mon Amour .... Ne dis rien ... Un moment pareil ne peut s'habiller que de silence ...
 
Merci 


J'admire la retenue qu'elle a eu. J'ai encore du mal à supporter les coups. Le maximum que j'ai eu pour le moment c'est 100 il me semble. 5 coups peuvent parfois suffir à me faire fondre en larmes. L'objet de torture pour moi : la cravache. Elle me laisse des marques rapidement et elle a le don de me donner l'impression qu'on me lacère la chair. Mais une bonne fessée à main nue peut être aussi dévastatrice que tout autre objet. Dès que la douleur m'atteint, les larmes coulent c'est plus fort que moi. Je suis trop émotive peut être mais j'ai beau me mordre les joues parfois jusqu'à sang pour ne pas pleurer, rien n'y fait. J'aimerai un jour ne pas pleurer et endurer sans gémir pour étonner mon Maître le rendre fière. Mais, je pense qu'il aime aussi voir les larmes couler sur mes joues. Demain, punition. Peut-être que j'arriverai à me retenir ...
Par maitre romain
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