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Bonjour, et bienvenu sur le blog de soumise Sophie.

Je suis Romain son maitre.

Sophie à 20 ans et est ma soumise depuis plus d’un an vous découvrirez à travers ce blog ses aventures, envies, et nous vous ferons découvrir son avancé.

Elle a signé un contrat de soumission et doit être percée prochainement.

Nous vous en dirons plus lorsque le site sera réellement utilisé.

Laissez nous des messages sur vos envies de rencontres ou vos commentaires.

Maitre Romain

Jeudi 20 novembre 4 20 /11 /Nov 14:02

Après une séance de fin de journée, remplie d’émotion, de domination… Je me sentais épanouie, pleinement à toi. Au moment où je me rhabille, tu m’annonças une nouvelle.

 

« - Je suis de plus en plus content de ton comportement mais pour parfaire ton éducation de chienne, tu vas partir une semaine chez un de mes amis vers Grenoble. Pendant cette semaine, tu vas écouter et obéir à tous les ordres qu’il te donnera. Si tu ne fais pas ce qu’il dit, je le saurais et ta punition sera comme jamais. Je te donne une chance pour franchir une nouvelle étape dans ta vie de soumise. »

 

Non pas ça. Tu sais que je ne suis pas prête à me donner. Je te veux toi et seulement toi.

« - Pourquoi m’envoyer chez cet inconnu si tu es content de mon comportement ?

- De toute façon, je ne te demande pas ton avis, mon ami t’attend. Je ne veux pas que tu me fasses honte. Je suis le Maître par conséquence tu prendras le train, tu iras où je te l’ordonne et tu offriras ton corps à cet homme. Tu assouviras tous ses désirs comme la bonne chienne que tu es. M’as-tu bien compris ? Et depuis quand dois-je me justifier de mes décisions, sale Chienne? »

 

Honteuse de t’avoir offensée, je te réponds simplement :

« - Pardonnez-moi, je ferais ce que vous voulez, Maître. »

 

Cette nouvelle m’assomma et l’anxiété commença à m’envahir. Me donner à un inconnu alors que je ne voulais être que sous ton commandement. Etais-je prête à me donner à un autre ?

 

Les deux semaines s’écoulèrent à une vitesse folle. Elles furent horribles pour moi. De nombreuses questions envahissaient mon esprit : serais-je à la hauteur ? Qu’allait-il m’arriver ?

La peur me tiraillait le ventre sachant que j’allais me donner à un autre homme que toi. Les mains d’un autre homme sur ma peau, une autre voix donnant les ordres dans le creux de mes oreilles. Je ne suis pas un objet que l’on prête, j’ai des sentiments, des sensations… Non je ne peux pas le faire. Mais pourquoi cette idée m’attire tout de même ?

 

Plus les jours passaient, plus l’anxiété et l’attirance de l’inconnu se faisaient ressentir. Le fait de ne pas te voir amplifiait ce manque. Je te voulais toi et tes ordres. Je ne pensais qu’à toi me prenant sauvagement sur le bureau, toi enfonçant un plug profondément en moi, toi me prenant à quatre pattes, toi me plaquant contre le mur pour déchirer mes vêtements… Calme-toi Sophie, arrête de penser à ça.

 

Le matin de la veille de mon départ, après une semaine d’absence, tu ne parlas pas du voyage et tu m’adressas peu la parole à mon grand étonnement. Tu déposas juste le billet de train. Je regardais le billet en essayant de prévoir ce qui aller m’arriver.

« - Pourquoi n’ai-je que le billet aller ?

- Mon ami a le billet retour et il ne te le donnera que si tu as été convaincante et obéissante. »

 

Encore une condition. Je ne peux même pas décider de mes faits et gestes. Je sens le coup foireux, je ne peux rien contrôler, rien prévoir…

Après une journée harassante, je rentrai à la maison déçue de cette journée sans affection de ta part, ni même d’ordre. Je fus surprise de recevoir un mail signé de deux personnes : Toi et l’inconnu.

Dans celui-ci, on pouvait y lire :

« Chienne, tu devras te rendre à la gare pour prendre le train de 8h30 en direction de Grenoble. Tu n’emporteras que le strict nécessaire à savoir :

- collier,

- bracelets de chevilles et poignets,

- dessous sexy : corset, string, bas,

- jouets : plug, vibro, boules de geisha, pinces,

 

Tu devras avoir une chatte parfaitement lisse. Je te veux sexy et désirable. Tu te rendras à la gare vêtue d’une jupe courte avec un chemisier blanc suffisamment ouvert pour y percevoir le galbe de tes seins. Tes jambes seront galbés dans des bas avec à tes pieds des talons aiguilles. Et bien sûr, aucune culotte ne sera tolérée.

 

Si tu ne respectes ses consignes, je veillerais à ce que tu sois punie. Tu devras me faire parvenir chaque jour, un rapport de stage dans lequel tu retranscriras chaque acte, chaque sensation ressentie…

A bientôt ma chienne.

Ton Maître et son ami. »

 

Après ma lecture, je frissonnai malgré moi. Ce message me faisait rappeler que l’échéance était proche. Après une douche, je me glissai sous les draps pour dormir et prendre des forces face à la semaine éprouvante en émotion qui m’attend.

 

La nuit fut courte. Je ne pouvais trouver le sommeil. Mon esprit voguait à ce que cet homme pourrait me faire : me fouettant à sang, me faisant dormir par terre comme une chienne...Non, je ne peux pas le faire. Cela n’est pas moi, je ne me donne pas à un autre. Que vas m’apporter ce voyage à part de la souffrance, de la déception, de la douleur.

Après tout cela ne va pas me faire de mal sinon tu ne m’y enverras pas. Je crois que c’est une manière pour moi de me rassurer. Je réussis à trouver le sommeil que très tard dans la nuit fatiguée de ressasser toutes les idées et questions qui se bousculent dans ma tête.

 

Le réveil me tira de mes rêves. C’était le jour J. Après cette nuit de réflexion, j’étais convaincue que c’était important pour moi d’y aller. Cette épreuve me rendra différente et plus ouverte pour répondre à tes envies et ainsi moins réfléchir à ce qui est bien ou non. Ainsi, je deviendrais la bonne chienne obéissante à son Maître, la traînée de tes envies.

Je me préparai en conséquence : épilation, coiffure, préparation de ma valise, passage de la tenue exigée… Malgré moi, je me voulais attirante, sexy. Je voulais que les regards se tournent vers moi à mon passage.

 

J’arrivai à la gare, j’étais en avance. Je patientais sur le quai en silence, le regard lointain. Je sentais le vent frais qui passait sous ma jupe pour venir caresser ma chatte nue. Je frissonnais. Le train arriva enfin. Je montai et m’installa. Malgré les quelques heures de sommeil, je n’étais pas fatiguée loin de là. Mon cœur battait de plus en plus fort et résonnait dans ma tête. Mon ventre se tiraillait du désir qui envahissait mon corps petit à petit.

Je regardais le paysage défiler sous mes yeux mais mon esprit était ailleurs. Je ne vis pas le voyage passer.

 

J’arrivais enfin à la gare un peu étourdie du voyage et de l’inattendu. Il pleuvait des trombes d’eau et bien sûr je n’avais pas de parapluie. Au moment de descendre du train, mon portable sonna. C’était un sms. C’est sûrement toi qui m’envoie un message pour m’encourager. Malheureusement, non. C’était l’inconnu.

« Je ne peux me rendre à la gare pour venir vous chercher. Vous devrez donc prendre le bus de la ligne 14 et descendre au cinquième arrêt. Ensuite vous devrez marcher jusqu’au carrefour puis prendre la rue à droite. Quand vous serez au numéro 22, avancez-vous jusqu’à la porte puis sonnez jusqu’à ce quelqu’un vienne vous ouvrir. »

 

Mon sang ne fit qu’un tour. Bah voyons, en plus il faut que je marche sous cette pluie battante. Mais qu’est ce que je fous là ? Si c’est comme ça, je me tire. Je me dirigeais vers le guichet et vis alors la longue queue. Que dirais-tu si je rentrais comme cela sur un coup de tête ? Tu serais furieux que je puisse te faire honte ainsi. Je ne peux pas te faire cela, je veux que tu sois fier de moi, de ce que j’ai accompli pour toi.

Je sortis de la gare et me rendis à l’arrêt de bus le plus proche en traînant ma valise derrière moi. Il pleuvait de plus en plus. Je sentais chaque goutte glisser sur ma peau.

Je montai dans le bus et m’installa. Je fis attention de ne pas louper l’arrêt. La pluie tapait sur les vitres. Les gens me dévisageaient de me voir ainsi vêtue. En effet, mon chemisier était devenu transparent à cause de la pluie. Je ne souhaitais qu’une chose devenir minuscule, invisible de ses regards. Enfin le cinquième arrêt.

 

Putain, il pleut toujours autant. Bon plus vite j’y serais plus vite, je serais au sec. J’en ai marre, je suis trempée, j’ai froid. 14, 16, 18, 20, 22 enfin. J’arrivai devant une belle maison victorienne bordée de fleurs. Une voiture était garée dans l’allée. Je m’avançais vers la porte lentement comme pour retarder le moment de franchir cette porte. Me voilà face à mes interdits. J’ai le choix entre tourner les talons et partir en courant en te rendant furieux de cet acte ou franchir cette porte, découvrir de nouvelles sensations.

 Je pris une profonde inspiration et sonna. Je frissonnais, les gouttes coulaient le long de mes tempes, une goutte se perdit dans le sillon de mon décolleté. Le vent amplifié ma sensation de froid. Putain mais qu’est ce qu’il fout ?

Au moment où j’allais sonner une seconde fois, la porte s’ouvrit. Enfin.

C’était toi. J’étais abasourdie.

« - Mais que fais-tu là ? Je te croyais au bureau », pendant que tu me dévisageais des yeux.

« - Entre avant d’attraper froid. »

Je franchis le pas de la porte. Je ne comprenais pas, j’étais perdue. Où est l’Inconnu ? Pourquoi es-tu là ?

« - Suis-moi, je vais te faire visiter. »

Je ne pensais qu’à une chose : me sécher, prendre un bain. Je te suivis malgré moi pièce après pièce. Nous arrivâmes dans la chambre, mes pieds me faisaient souffrir d’avoir tant marché.

« - Débarrasses-toi de ses vêtements. Je ne veux pas que tu tombes malade. »

 

J’enlevai mon manteau et le jeta à terre. Mon chemisier me collait à la peau. J’entrepris de déboutonner chaque bouton. Pas assez vite à ton goût. Tu arrivas vers moi et m’arrachas ma chemise d’un coup sec laissant alors à ta vue mes seins. L’idée de me reposer s’envola face à ce geste qui fit naître le désir en moi.

Tu me plaquas contre le mur. Tes lèvres s’écrasèrent sur les miennes, ta main s’empara de ma chevelure que tu emprisonnas de tes doigts. Le désir montait de plus en plus en moi. Ta main remonta ma jupe. Je retirai ta chemise rapidement et la jeta au loin. Mes lèvres parcoururent ton cou. Tu me soulevas et plaquas mes fesses contre le mur ce qui m’excita d’autant plus. Tu te débarrassas de mon soutien-gorge. Mes tétons durcissaient de plaisir. Tu te saisissais de l’un d’eux et le mordilla. Un gémissement s’échappa de ma gorge. Je n’en pouvais plus. Je n’attendais qu’une chose : Toi, profondément en moi. Tu m’amenas sur le lit et retiras ma jupe. Je desserrai ta ceinture et déboutonnai les boutons de ton jean. Je voulais sentir ta peau nue sous mes doigts.

- Prends-moi. Fais-moi jouir de plaisir.

Ses mots ne firent qu’un tour. Tu me pénétras avec vigueur sur le lit ce qui me fit cambrer. Mes mains parcouraient ton dos et s’attardèrent sur ton postérieur. Enfin, je te sentais en moi, je sentais ta peau, ton souffle sur ma nuque…

Tes mouvements de bassin étaient vigoureux, profonds, enivrant… Tout ce qui nous entourait, n’existait plus. Il n’y avait que nous, notre plaisir. Mes gémissements se faisaient de plus en plus forts et profonds. Ton souffle s’accéléra, tes mains me caressaient avec douceur. Tu pinças un de mes tétons du bout des doigts, j’étais au bord de la défaillance. Après quelques mouvements percutants, je ne pus me retenir plus longtemps. Un gémissement profond sorti de ma gorge malgré moi. Tu me joignis quelques instants plus tard. Tu m’embrassas et te retiras de moi. J’étais alors vide de toi. Je mis ma tête sur ton torse, tu caressais mes cheveux.

« - Tu m’as manqué. Ton indifférence m’est insupportable. Je suis contente que tu sois là. Je ne voulais pas que tu me donnes à cet inconnu. J’avais peur que tu ne m’abandonnes. Je ne veux que toi.

- Je voulais te faire une surprise. Je suis content qu’elle t’ais plu. »

 

Tes propos étaient rassurants mais une question envahissait mon esprit : où est l’inconnu ? Suis-je vraiment en stage ? Tu ne démens pas mes dires.

Peu importe, à cet instant, j’étais bien et m’endormis à tes côtés la tête pleine de rêveries. J’étais certaine que ce stage n’était qu’un prétexte pour profiter de moi pendant une semaine loin du travail, de la routine. Tu étais là pour moi et l’inconnu avait alors disparu de mes pensées.

 

Je fus réveillée par une douce odeur de café. Je te cherchai à mes côtés mais tu n’étais pas là. Je me levai et m’entoura du drap. Je descendis les escaliers et me dirigea vers la cuisine. Sur la table, le petit déjeuner était préparé mais tu n’étais pas là. Je vis alors un petit mot de ta part :

 

« Je dois m’absenter pour la matinée. Occupes-toi de la maison comme la souillon que tu es. Je te veux nue bien sûr pour le faire. Tout doit être fini à 12h et je te veux prête pour me recevoir à 12h30. Pour la tenue, je te laisse le choix surprends-moi. Prends soin de bien prendre ton petit déjeuné, tu as besoin de force pour la journée qui t’attends. A tout à l’heure ma Chienne.

Ton Maître. »

 

Ton message me fit sourire. Enfin, je te retrouvais. Tu t’occupais de moi comme tu ne l’avais pas fait depuis longtemps. L’Inconnu sortait alors totalement de mes pensées.il n’existait pas pour moi. Je ne pensais qu’à profiter de ses instants avec toi.

Par maitre romain
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 00:49

Je devais vous retrouver après quelques jours d’absence et d’abstinence. Je m’empressais de parcourir le chemin convenu. Mon esprit était ailleurs se demandant ce qu’il allait réellement se passer ce soir. Il était convenu d’une soirée cinéma ni plus ni moins. Mais, intérieurement, j’espérais bien plus que cela. Les jours passés sans séance se faisait ressentir : le moindre geste ou ordre allait me faire craquer.

J’arrivais enfin au lieu prévu. Vous êtes arrivé juste derrière moi me surprenant par la même occasion. J’étais heureuse de vous voir oubliant alors les codes de conduite établis. Nous sommes partis en moto, direction Chatelet.

Les rues étaient pleine de monde sorti faire la fête, retrouvé des amis. Moi, j’étais avec Vous et cela me suffisait.

Arrivés à bon port, nous sommes allé voir les séances comme si de rien n’était. Je vous suivais comme à mon habitude derrière vous à suivre vos pas. Le film que vous recherchiez, n’était pas disponible. Nous voilà alors de retour dans les petites rues entourant le forum des Halles. Vous vous êtes alors dirigé vers un sex-shop. Il ne m’était pas inconnu puisque c’était le premier sex-shop dans lequel vous m’avez emmené. En entrant, je remarquais tout de suite que j’étais la seule femme présente dans les lieux. Je veillais à ne pas vous perdre et vous suivais comme une chienne suivant son maître. Tout était devant nos yeux : gods, fouets, dessous, plugs… Une vraie caverne d’Ali Baba du sexe. Vous demandez conseil à un des vendeurs. Mes yeux parcouraient entièrement la pièce regardant chaque recoin, chaque objet. J’imaginais l’utilisation de chaque objet avec vous. Votre choix s’arrêta sur un objet que je vous avez parlé il ya peu de temps et qui me faisait envie : un « œuf » guidé grâce à une télécommande. Intérieurement, j’étais folle de joie et n’avait qu’une envie : l’UTILISER tout de suite, maintenant. Nous sommes sortis de la boutique et retournés vers la moto direction Montparnasse. Notre prochaine séance avait lieu 45 minutes plus tard. Par conséquence, nous en avons profité pour aller manger. Après avoir commandé, alors que je nettoyais mes lunettes, vous dites alors :

« - Va aux toilettes. Mets l’œuf et bien sûr, tu enlèveras ton sous-vêtements si tu en a mis un », tout en me donnant l’objet en question.

Je m’empressais de descendre aux toilettes. J’étais comme une gamine de 5 ans excitée à l’idée d’ouvrir ses cadeaux. Je fermais la porte et commençais à me déshabiller. J’étais déjà excitée rien qu’à l’idée de l’utiliser en public. Je glissais mon string le long de mes jambes et le laissait tomber sur le sol. J’introduisais l’objet dans l’antre humide sans difficulté et me rhabillais à toute hâte et remontais vous rejoindre.

Une première réflexion fusa :

« - Tu aurais du mettre un décolleté encore plus plongeant.

- Tu n’aimes pas », intérieurement, j’étais contente car vous aviez remarqué. Je l’avais fait exprès pour attirer vos faveurs.

« - Si, si, j’aime. Après avoir pris ton médicament, tu prendras cette gélule.

- Qu’est que c’est.

- Tu verras. »

Je pris donc les cachets et les avala. Nous sommes alors partie dans nos conversations. Alors que je parlais, je sentie quelque chose vibrer en moi. Mon premier réflexe fut de chercher mon portable mais vous me l’aviez confisqué à notre arrivée au restaurant. Un petit sourire naissait sur mes lèvres et je vous regardais alors pour y déceler quelque chose. Vos yeux pétillaient et un léger rictus était affiché sur votre visage.

« - Que t’arrives-t-il ?

- Rien du tout » sans retirer mon sourire.

Les endroits publics avaient le don de m’exciter en votre présence. Un fantasme intérieur ? Je ne saurais expliquer cet attrait pour les lieux publics. Une certaine chaleur m’envahissait peu à peu. Puis, les vibrations s’arrêtèrent et nous sommes partis du restaurant afin d’arriver à l’heure pour la séance.

Vous vous êtes dirigé tout au fond de la salle dans un coin tranquille. Après avoir retiré nos vêtements, vous êtes tourné vers moi pour me demander :

« - Ressens-tu l’effet des cachets ?

- Je ne crois pas à quoi sert-il ?

- Tu es censée devenir une chienne en chaleur. C’est censé décupler tes sensations de plaisir.

- A d’accord. »

Bizarrement, depuis notre arrivée au cinéma, j’avais une sensation de chaleur. J’étais contente de passer une soirée en votre compagnie sans se soucier des problèmes, des autres. Il y avait juste nous.

Dans la pénombre, les joues chaudes, la chatte humide, chaque vibration provoquait une onde de plaisir me déconnectant du monde qui m’entoure. Seul votre main au milieu de mes jambes me reliait à lui. Mon corps réagissait à chaque secousse : mon souffle accéléré par l’excitation grandissante. Ma main recherchait votre queue que je désirais ardemment.

Puis, arrêt. Plus de vibrations. J’ouvrais les yeux brillants d’excitation. Mon souffle retrouvait peu à peu son rythme régulier. Un groupe de jeunes venaient de s’installer non loin de nous. Je sentais le fruit de mon excitation en moi. Je cherchais votre regard pour y déceler quelque chose. Brillant, lointain, votre regard reflétait vos pensées lointaines. Ma main caressa votre queue déjà dressée par le jeu qui s’installait entre nous. Je voulais que vous me désiriez, me prendre au plus vite. La présence du groupe de jeunes ne me dérangeait pas et le fait de caresser mon Maître en sachant qu’ils étaient à 3 places de moi ne faisait qu’augmenter mon excitation.

Après quelques minutes, le groupe est parti, désintéressé par le film. Nous étions de nouveau seul. J’entendis le bruit de votre ceinture que vous enleviez. Je me sentais alors plus chienne que jamais saisissant ce membre qui me faisait tant envie. Le gland humide d’excitation, la verge dressée. Mes doigts parcouraient chaque recoin de cet objet de plaisir me retrouvant alors dans un état d’excitation incontrôlé. Vous sentiez cela et dites :

« - Retire ton soutien gorge.

- Oui, mon Maître. »

J’exécutais l’ordre délicatement. Votre main chaude et robuste plongea dans mon décolleté frôlant mes tétons déjà durcis par tant d’excitation. Retour des vibrations. La chaleur me remonta aux joues. A cet instant, j’aurais été capable de me mettre nue et de vous sautez dessus. Je n’en pouvais plus mais le film arrivait à sa fin.

« - Rhabilles-toi maintenant ».

La déception commençait à arriver en moi. Je ne voulais pas que ses instants se terminent. Les lumières s’allumèrent pour marquer la fin du film et des vibrations. Nous avons mis nos manteaux et sommes sortis dans la nuit parisienne. Avant de remonter sur la moto, vous avez actionné les vibrations. Je réprima un petit sourire en fixant vos yeux rieurs. Nous sommes partis en route pour l’appartement. Chaque accélération amplifiée les vibrations déjà envahissantes. Je ne pensais plus qu’à une chose en route : vous montant avec moi dans l’appartement. A peine la porte fermée, vous auriez arraché mes vêtements me jetant alors sur le lit pour me prendre sauvagement comme une chienne. Je voulais être à vos pieds, vous servir, sentir votre peau sur moi, votre queue en moi, vos soupirs à mon oreille, ma langue parcourant certaines parcelles de votre peau…

Je fus reconnectée à la réalité car nous étions arrivés. Je descendis de la moto en espérant que mes envies se réaliseraient. Apparemment, ce n’était pas le cas. La déception et la frustration fit place au plaisir.

« - Je n’ai plus qu’à te souhaiter une bonne nuit et à demain.

- Bonne nuit, à demain » en essayant de ne pas transparaître ma déception. Je franchis la porte le cœur lourd déçue par la tournure de la fin de soirée. Je ralluma mon portable. J’entra dans l’appartement et retira mes chaussures. Alors que j’étais à moitié nue, mon portable sonna. Je regarda l’heure : 1 heure. Qui pouvait bien m’appeler à cette heure ? Je décrocha et répondit :

« - Allô….

- C’est moi, je voulais vérifier si tu avais rallumé ton portable.

- Je l’ai allumé car c’est mon réveil pour demain ou plutôt tout à l’heure.

- C’était pour te dire que j’avais passé une bonne soirée et que je ne suis pas monté avec toi pour te punir de n’avoir pas respecter notre code de conduite.

- Je m’en suis doutais et merci, j’ai passé une très bonne soirée également. Je n’ai plus qu’à te souhaiter bonne nuit et à demain.

- Bonne nuit. »

Je raccrocha et attendis quelques minutes en espérant vous entendre monter les escaliers. Mais, rien n’y fit. Vous ne viendriez pas. Je termina de me déshabiller et glissa sous la couette. Je ferma les yeux doucement tout en repensant aux évènements de cette douce soirée et m’endormis la tête pleine d’envies.

 

Par maitre romain
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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 17:54

Je me mets de profil et allonge mes jambes. Je ferme délicatement mes yeux rougis par les larmes. Mes pensées s’évadant alors vers d’autres ébats.

Je ne sais combien de temps s’écoula avant que votre voix ne me tire de ma rêverie.

« - Chienne, sous la table et vient caresser ton Maître. »

J’exécute l’ordre attentivement de peur des représailles. Je rampe à quatre pattes jusqu’à votre bureau et me place entre vos jambes. De mes fins doigts, je commence à caresser votre membre que je sentais grossir sous mes doigts. Je m’attarde sur votre gland que je malaxe entre mes deux doigts. Chaque caresse réchauffe mon corps refroidit par le carrelage sur ma peau.

« - En position, Chienne ».

L’ordre fusa après quelques minutes passées entre vos jambes que je ne voulais quitter. Je me place à vos pieds et me mis en position de soumission comme vous me l’avez appris : le visage sur le sol froid, mes mains dévoilant plus mon intimité pour vous satisfaire. Vous avez alors retiré vos chaussures et plaça vos pieds sous moi quelqu’un le ferait avec son chien pour se réchauffer les pieds. Le calme soudain me repose et je m’assoupie quelque peu après tous ses évènements.

« - Va dans la pièce en haut et attends moi.

- Oui, Maître », me tirant alors de mon sommeil.

Je quitta alors vos pieds et rampa hors du bureau et traversa le séjour avant de monter à l’étage. Je monta les escaliers et m’installa dans la pièce comme vous me l’avez demandé. Après quelques minutes d’attente, je tomba sur un livre Frappe-moi ! et commença à en lire quelques pages tout en m’emmitouflant dans une couverture. J’étais tellement pris par le récit de cette jeune femme soumise que je ne vous attendis pas revenir. Vous êtes alors entré dans la pièce me trouvant plonger dans ce récit. Vous vous êtes placé derrière moi. J’étais alors de retour entre vos jambes. Vos mains glissèrent sous la couverture pour venir me pincer les tétons.

« - Que dois-tu faire quand je ne suis pas là et que je ne te donne pas d’ordre en particulier ?

- Je dois tenir la position, Maître.

- Et que fais-tu là, Chienne ?

- Je lis un livre sur le récit d’une soumise.

- Te plais-t-il ?

- Oui, Maître. »

Vos mains froides ne quittaient pas mes seins que vous malaxiez fermement faisant alors remonter le désir en moi. Je n’attendais plus que votre queue en moi, j’étais en manque d’elle. Quand alliez-vous me prendre en fin. Vous quittez alors la pièce me laissant alors de nouveau seule. Mais ce ne fut que de courtes durées.

« - Sort de cette couverture et offre-moi ton cul, Chienne » alors que vous vous mettiez nu. J’exécute l’ordre sagement ne laissant pas transparaître mon envie envahissante d’être prise par vous.

« - Viens me sucer, Chienne. »

Je suis alors déçue, moi qui désirais tant être enculée sur le sol tout de suite maintenant. J’exécute au mieux la tâche que vous m’avez demandé en ne laissant rien dévoiler. Je sens alors vos doigts inquisiteurs dans mon cul, me fouillant de plus en plus. La chaleur monte alors en moi heureuse de me sentir remplie par vous.

« - Fais ton travail de chienne et lèches-moi le cul » tout en continuant de m’exciter.

Je plaça ma tête entre vos fesses et entrepris délicatement de lécher cette partie intime de vous alors que vous enfonciez alors un troisième doigt dans mon cul me faisant alors gémir de plaisir. Vos doigts occupaient plus mon esprit que la tâche que vous m’aviez alors confié et me stoppa un moment face au plaisir qu’il me procurait. Une claque violente sur mon cul déjà meurtrie me rappela à l’ordre.

« - T’ais-je dis de t’arrêter, Chienne ?

- Non, Maître. Pardonnez-moi.

- Reprends ton boulot alors. »

Je repris la tâche ordonnée alors que vous étiez encore en train de travailler mon cul alors entièrement offert à votre portée. Un quatrième doigt inquisiteur rentra alors en moi me faisant alors gémir non pas de plaisir mais de douleur. Les larmes commencèrent à couler le long de mes joues. Le plaisir grandissant fut remplacé par la douleur et les larmes.

« - Montre-moi les marques de ta souffrance. Tu sais très bien que je veux voir tes larmes couler. Souffres-tu, Chienne ?

- Oui, Maître.

- Tu sais que je vais aller de plus en plus loin. Mais, tu mouilles comme une chienne malgré ta douleur. Tu en ais consciente ?

- Oui, Maître. Malgré la souffrance, je veux être votre chienne, esclave. Je veux être l’objet de vos envies même si cela doit passer par la douleur.

- C’est bien. Tu deviens une bonne chienne. Tu m’étonnes de jour en jour. Maintenant, rhabilles-toi en laissant tes sous-vêtements.

- Oui, Maître » alors que vos doigts quittaient mon être me laissant alors vide de vous. Le soulagement et la frustration m’envahit. Je ne vous avez pas satisfait et manquée à mon devoir de chienne. De plus, je ne vous sentez plus en moi alors que c’était la chose que je désirais le plus.

« - Demain, je te veux désirable et prête à répondre à toutes mes envies, Chienne.

- Oui, Maître. Je suis là pour servir les envies de mon Maître. »

Je me rhabilla en silence et quitta la pièce en vous souhaitant une bonne soirée en ne pensant plus qu’à demain.

Par maitre romain
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Mercredi 5 novembre 3 05 /11 /Nov 11:49

La nuit venait de tomber sur Paris. Je rentre le pas assuré sans savoir ce qui m’attendait. La soirée se passe normalement. Soudain, le téléphone sonne. C’était un message.

« Je veux que ma chienne soit désirable et propre sous peine d’être corrigée comme il se doit. Ton Maître ».

Je m’afférais à la tâche qui m’était donné. Je me nettoyais, me maquillais et commençait à choisir mes vêtements.  Mon choix s’arrêtait sur une jupe noire et un haut de soie assez décolleté pour permettre l’accès de mes seins à mon Maître. Je glissais mes jambes dans des bas noirs et mis des talons hauts. Je patientais lorsque la sonnette retentissa. J’ouvris et vous accueilli comme il se doit.

«- Bonsoir, mon Maître ».

Vous rentrez dans la pièce alors que je fermais la porte.

«- Mets-toi nue Chienne que je vérifie si mes instructions ont été respectées. »

J’exécuta l’ordre et laissa glisser ma jupe sur le sol révélant alors mes dessous en dentelle noire et les bas qui soulignaient mes jambes. Rapidement, je fus en sous-vêtements que je retira délicatement, les laissant glisser sur ma peau me provoquant quelques frissons.

Mon corps entièrement nu vous était alors offert. Votre main passa délicatement sur mon pubis imberbe puis descendit entre mes jambes pour glisser un doigt dans ma chatte déjà humide.

«- Tu mouilles déjà, Chienne. Penches-toi en avant que je vois ce qu’il en ait de ton cul ».

Je me retourna pour que mon cul vous fasse face. Votre main passa sur les marques zébrées encore visibles d’une punition subie il y a quelques jours de ma désobéissance. Un doigt glissa le long de ma raie et alla se loger dans ma rondelle accueillante. L’excitation commençait à monter en moi ;

«- Je vois que tu as respecté mes ordres. C’est  bien, Chienne. Maintenant, rhabilles-toi sans remettre tes sous-vêtements ce soir nous sortons. Tu as intérêt à te comporter en bonne chienne sinon je serais dans l’obligation de te punir sévèrement. Tu seras toujours quelques centimètres derrière moi ou à côté de moi. Tu ne parleras que si je te l’ordonne. Tu ne feras aucun commentaire et écoutera uniquement le son de ma voix. Est-ce bien compris, Chienne ? 

- Oui, mon Maître. Je serais une bonne chienne obéissante qui vous servira comme il se doit.

- Bien, je l’espère. Maintenant, partons.»

Je vous suivais comme il était convenue ne sachant pas où j’allais me rendre. Un mélange de crainte et d’excitation coexistaient en moi. Après quelques minutes de trajet, nous arrivâmes. C’était un club peu indiquée dans une petite rue discrète. Nous entrâmes et déposâmes nos affaires au vestiaires. Passés d’épais rideaux noirs, nous arrivâmes dans une immense salle à lumière tamisée. D’immenses canapés rouges occupés l’espace. De nombreuses personnes étaient présentes : des hommes et des femmes allongées aux pieds de leurs Maître sans rien dire.

Je regardais la scène intriguée par ce qui se passait autour de moi. Nous nous sommes dirigés vers un canapé libre. Vous vous êtes assis alors que j’attendais votre ordre.

« - Mets-toi à genoux entre mes jambes et ne bouge pas, Chienne. »

J’exécuta l’ordre sans protester. Les femmes autour de moi se déplaçaient à quatre pattes proche de leurs Maîtres, d’autres répondaient aux désirs de ceux-ci : avalant de tout leur long la queue de leur Maître, donnant du plaisir à d’autres femmes devant les yeux excités de leurs possesseurs… L’excitation commençait à monter en moi petit à petit malgré moi. Vous sentiez ce sentiment monter en moi.

« - Fais ton travail de chienne et vient exciter ton Maître comme il se doit. »

Contente de pouvoir enfin servir mon Maître, je me retourna pour vous faire face.

« - Baisse tes yeux, Esclave. Cherches-tu à être punie pour cet affront ? Je suis sûr que non. »

Je repris la tâche qui m’était demandée. Je pencha la tête en direction de votre entre-jambe qui était déjà dressé par le désir grimpant en vous. Mon visage et mes cheveux commença à frotter ce membre qui me faisait tant envie. Ce contact ne faisait qu’accroître le désir qui m’envahissait de plus en plus. Je n’avais qu’une idée en tête : prendre ce sexe tendu en bouche et sentir ce membre grossir par des coups de langue et aspiration pour enfin être envahi par ce foutre en signe de récompense. Mais, quelque chose me tira de mes pensées. Un homme vient s’assoir à vos côtés et commença à vous parler.

« - C’est une bien belle chienne que vous avez là. Est-elle obéissante et docile comme il se doit ? », demanda t-il comme si de rien n’était.

« - Elle me donne parfois du fil à retordre et je la corrige pour mon plus grand plaisir et le sien. Voulez-vous avoir un aperçu de ses capacités sous ma direction bien sûr ?

- Se serait avec plaisir. »

J’assistais à la conversation tout en poursuivant la tâche qui m’était demandée. Vous vous êtes levé.

« - Suis-nous comme une chienne se doit de le faire ».

Je suivais donc deux hommes désirant mes faveurs vers une deuxième salle plus calme. Elle était composée de divers matelas rendus intimes par de fins rideaux transparents permettant à qui le souhaitait de regarder la scène. Nous sommes passés à côté d’une femme se faisant enculer par un homme tout en embrassant une jeune femme. J’étais envieuse de cette femme mais je ne savais pas ce qui allait m’arriver. Nous sommes arrivés à l’endroit désiré.

« - Mets-toi nue. Tu feras tout ce que je te demande comme il se doit et répondre à nos envies mutuelles. »

Je fis glisser mes vêtements le long de mon corps pour les laisser choir sur le sol. L’invité me scruta et m’examina de haut en bas.

« - c’est une belle chienne que vous avez là. J’espère qu’elle sait répondre à toutes vos demandes.

- Je vais vous le prouver tout de suite. Chienne, va faire une gâterie à Monsieur et appliques-toi. »

L’homme s’asseya sur le lit. Une chaleur assez importante nous entouré. Je me dirigea toujours à quatre pattes vers cet homme que je devais satisfaire. Son pantalon laissait déjà transparaître son désir grandissant. Son sexe dressé ne demandait qu’à sortir, serré dans ce vêtement alors superflu. Je descendis la braguette de l’inconnu devant vos yeux. Mes doigts agiles frottèrent délicatement de toute sa longueur ce membre luisant dressé par le désir. Je l’enfourna de toute sa longueur dans ma bouche et commença à caresser de ma langue agile son gland noueux. Devant cette scène, je senties vos doigts se glisser dans ma chatte humide du désir qui était présent dans mon être depuis notre arrivée. Cette intrusion en moi me fit échapper un gémissement aspirant alors vos doigts dans cette chatte réclamant une queue pour l’assouvir.

« - Tu mouilles déjà comme une fontaine. A croire que tu aimes être une putain. »

Ses mots me choquèrent malgré moi et résonnèrent dans mon esprit. Je ne pensais alors qu’à partir et laisser cet homme le pantalon sur les genoux. Mais, sa voix me rappella que je tenais son sexe bandant dans ma bouche en privilégiant son désir.

« - Oh, votre chienne s’applique vraiment. Quelle chance vous avez. Son cul me fait envie. Pourrais-je l’enculer devant vos yeux ?

- Bien sûr. Cette pompe à sperme est faite pour nous servir. Allez-y, servez-vous en comme si c’était la vôtre. Mets-toi à quatre pattes sur le lit et tend ton cul qu’il puisse ainsi qu’enculer comme il se doit. »

J’abandonna son sexe tendu et grimpa sur le lit pour lui offrir ma croupe. Vous vous êtes placé devant moi pour regarder mon regard. Je sentis le gland lubrifié de ma salive se présenter sur ma rondelle. Je le sentis forcé l’entrée puis je l’engloutis de toute sa longueur. Une chaleur montée en moi alors qu’il commença à me labourer sans ménagement.

« - Oh la Garce. Elle me serre, je sens ses entrailles se refermaient autour de ma queue. Que c’est bon, sale chienne. »

Mon regard soutenait le vôtre pour vous prouver qu’un autre homme était capable de me donner du plaisir comme un affront à votre autorité. Je voyais que cette scène vous excitez malgré que vous ne soyez pas acteur. Comme si vous lisiez dans mes pensées, vous vous êtes levé en défaisant votre ceinture. Je comprenais ce qui allait se passer.

« - Honore ton Maître, sale Chienne ».

Votre main emprisonna ma chevelure avec vigueur pour diriger ma tête vers cette queue que je connaissais et désirais. Luisante, puissante… Je l’enfourna dans ma bouche alors que votre main faisait pression pour que je l’avale de toute sa longueur. Je la sentie se cogner dans ma gorge me provoquant alors un haut le cœur. Votre main imprimait la cadence que j’essayais de tenir alors que l’inconnu continuait à me labourer par de puissants coups de reins. Tout cela formé une cadence parfaite. Nos ébats avaient attirés quelques spectateurs excités par la scène.

« - Je sens que je vais jouir dans le cul de cette salope. Ohhhh !!!! »

Je sentis les jets puissants se répandre dans mes entrailles contractant alors sa queue. Je n’avais plus qu’un seul but : vous faire jouir. L’inconnu se retira après quelques secondes me laissant alors vide qui se rhabilla et resta spectateur.

Votre queue bandante grossissait de plus en plus. Les coups dans ma gorge commençaient à e faire monter les larmes aux yeux. Je dirigea mon regard vers le vôtre et vis le vôtre à la choix mêlé par la fierté et le désir grandissant. Je sentais que la fin était proche. Je sentis votre queue se contracter. De profonds jets puissants se firent sentir dans ma bouche. Votre foutre chaud et épais se déversa dans la gorge qui venait de vous servir. Vous vous êtes retiré après quelques secondes restés immobile en moi. Je m’écroula sur le lit, exténuée des évènements passés.

Je vous vis faire le tour du lit et vous diriger au-dessus de moi et venir déposer un baiser sur les lèvres qui venaient de vous enlever votre plaisir.

« - Tu as bien travaillé, Chienne. Je suis fier de toi, tu ne m’as pas déçu et déshonoré.

- Merci mon Maître. »

A peine ais-je fini ses mots que votre queue s’introduisit en moi avec vigueur me laissant échapper un gémissement de plaisir. Ma chatte vous désirez tant qu’elle enserrait votre queue réclamant de plus en plus vos faveurs. Votre queue butait contre les parois humides et chaudes de ma chatte. Mes gémissements se faisaient de plus en plus rapprochés contente de ce cadeau que vous m’offrez.

« - Merci, Maître de cet honneur de vous servir », le souffle coupé à chaque coup de queue en moi. Le désir se faisait de plus en plus envahissant et s’évacua en un râle puissant. Vous ne tardez pas à me rejoindre laissant votre queue se contractant et évacuant de profonds jets chauds contre mes parois sensibles provoquant alors un second orgasme.

Vous vous êtes retiré après quelques instants et présenta votre queue devant moi pour la nettoyer. Je pris soin de lécher votre queue luisante de mes sécrétions et des restes de votre épais foutre.

« - Rhabilles-toi, nous partons. »

Je ramassa mes affaires sur le sol et m’habilla devant les spectateurs qui quittaient l’espace devenu inintéressant pour se diriger vers d’autres lieux où retentissait les râles des hommes et femmes en chaleur.

Nous avons traversés les deux salles pour récupérer nos affaires. Nous avons quittés les lieux en silence me laissant alors imaginer dans mes pensées notre prochaine soirée dans ce club.

 

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Par maitre romain
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Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 07:32
Soumise Sophie devait être corrigée pour un manque de respect envers moi.
nous avons donc passé une après midi entière pour une séance de punition avec en grande partie une dilatation anal.
j'ai demandé à soumise sophie de vous faire un récit de la séance, en voici la première partie:

J’entre dans la maison sans bruit. Vous m’accueillis :

« - Te voilà enfin. Mets-toi en tenue. »

J’enlève mes vêtements un à un sans mot et les laissa glisser sur le sol. Je prends mes liens et les mis tout d’abord aux chevilles, puis aux poignets et enfin pour parfaire ma tenue, mon collier qui fait de moi ta Chienne. Je suis prête.

« - A genoux. Quels sont les termes de ta soumission ?

- Je dois vous vouvoyez lorsque nous sommes seules, finir mes phrases par Maître, répondre entièrement à vos ordres et prendre ma position de soumission lorsque je ne reçois pas d’ordres particuliers.

- Bien. Qu’as-tu fais c’est dernier temps ?

- Je vous ai tutoyez, omis de vous appeler Maître.

- Que mérites-tu par conséquence ?

- Punie, Maître.

- Alors, mets-toi face au mur, les mains derrière la tête, les jambes écartées, Chienne. »

J’exécute l’ordre avec l’angoisse grandissante de ce qui va m’arriver. Je ne perçois que vos pas et vos bruits sans savoir ce qu’il va se passer. Soudain, le froid, la dureté, le cuir parcoure mes fesses alors offertes à vos coups. Je patiente redoutant le moment du premier coup. Je profite alors des caresses du cuir sur ma peau. Vous passez le cuir délicatement sur mes fesses remontant sur mes reins cambrés jusqu’à ma nuque. Je savoure ce moment de répit les yeux fermés. Puis, retour à la réalité. Le premier coup.

« -Un », dis-je surprise.

Ce ne fut que le premier d’une longue série. Ma voix s’éraillait de plus en plus face aux coups et à la dureté de votre main. Au bout de 30, un répit enfin. Vos doigts passèrent sur mes fesses rougies par vos coups.

« - Cela, commence-t-il à chauffer ?

- Oui, Maître.

- Bien. »

La pause ne fut que de courtes durées. Je sentis la cravache caresser les marques chauffantes laissées par le cuir. Même processus. Celle-ci remonta le long de mes reins, s’aventura le long de ma raie pour s’évanouir à l’auréole de mes seins. Ce répit m’apaise.

Premier coup cinglant. Plus douloureux encore que les 30 précédents. Je m’efforce de compter sans laisser paraître ma souffrance. Chaque coup me déchire davantage. 50 arrive comme une délivrance. Je m’efforce de ne pas tomber à genoux et me retient au mur.

« - Bien, Chienne. Première punition effectuée. Suis-moi dans mon bureau », dîtes-vous sans émotion particulière en attachant les pinces sur mes attributs. Les premières mâchoires se refermèrent sur mes tétons puis sur mes lèvres. « Sur le canapé, en position de soumission ».

J’exécute l’ordre. Me voilà ainsi accroupie, le visage sur le cuir, mes mains écartant mes fesses vous offrant alors la libre vision de mon cul. Vos pas, des bruits attirent mon attention. Une sensation de froid se fait alors sentir sur mon con.

Que va-t-il me faire ? Je sais que vous êtes capable du pire et que mes larmes n’y changeront rien. Quelque chose s’introduit alors en moi. Je reconnais le bruit des baguettes chinoises. Une, puis deux, trois… Je ne sais combien me pénètre alors me déchirant alors de l’intérieur. Un gémissement de douleur puis les larmes me montèrent aux yeux. Non je ne dois pas pleurer, je dois être forte. Vous avez entendu mes sanglots naissant que je tentais en vain de cacher mais ce n’était que peine perdu. Votre main puissante emprisonna mes cheveux pour relever ma tête et laisser voir mon visage ruisselant de larmes que je voulais tant cacher.

« - Souffres-tu, Chienne ?

- Oui, Maître.

- Bien. »

Vous me quittez alors et partez vous installer à votre bureau. Les minutes passent. Les objets m’occupant se font alors de plus en plus gênants. Des fourmis dans les pieds m’empêchent alors de bouger. Je ne sens plus mes doigts de pieds. Je ne peux le dire à mon Maître. J’hésite longuement mais la gêne se fait alors plus pressante.

« - Maître ?

- Oui, Soumise.

- Je ne sens plus mes pieds, Maître.

- Que veux-tu que j’y fasse ?

- Je ne sais pas, Maître. »

Vous vous levez de votre chaise et venez vous assoir à mes côtés calmement. Je senties une première baguette se retirait de sa cage puis une à une, vous retirez ces objets occupant tout cet espace restreint. La douleur s’évacue peu à peu.

« Mets-toi sur le dos maintenant. »

J’exécute l’ordre et prends une position plus confortable mais une douleur assaillante me transperce. Les pinces emprisonnants mes tétons me faisaient souffrir au plus au point. Les larmes me montent aux yeux. Je ne peux les arrêter laissant alors évacuer mes sanglots.

« - Que t’arrives-t-il ?» me demandez-vous alors que je ne cherche qu’à cacher ses larmes honteuses.

« - Rien, Maître », dis-je malgré la douleur fulgurante. Mais je ne peux rien vous cacher, je suis transparente à vos yeux.

« - Les pinces te font mal, c’est ça ?

- Oui, Maître.

- Demandes-moi de les retirer.

- Non, Maître ». Je ne voulais pas vous décevoir malgré mes pleurs. Je voulais endurer cette douleur, vous prouver mon courage, ma donation…

« - Que t’ais-je dis. Faut-il que je te corrige encore, Chienne ?

- Non, Maître. Pouvez-vous me retirer les pinces s’il vous plaît, Maître ? ».

Vos mains habiles retirent la première pince accentuant alors ma douleur. J’étouffe un cri de douleur dans mon bras. Puis la deuxième mâchoire quitte mon dernier téton endolori. Vos mains caressent apaisant ma douleur et ma souffrance ainsi que mes larmes qui s’arrêtent de couler le long de mes joues.

« - Je veux voir tes larmes coulaient. Je veux voir ta souffrance. Je ne veux pas que tu te caches. Tu es ma Chienne, je dois tout voir de toi.

- Oui, mon Maître », séchant alors ma dernière larme. Vos mains caressent toujours mes seins dont les tétons durcissaient non pas de douleur, mais du plaisir qui commence à monter en moi.

« - Repose-toi un peu maintenant. 

- Oui, Maître. Merci, Maître. »

Je me mets de profil et allonge mes jambes. Je ferme délicatement mes yeux rougis par les larmes. Mes pensées s’évadant alors vers d’autres ébats
Par maitre romain
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